Le défi pour l’Eglise est-il tant l’indifférence religieuse que de nouvelles aspirations spirituelles sur lesquelles nous ne savons pas encore mettre de nom?
Est-ce une évidence? Notre société est indifférente au christianisme qui paraît se dissoudre alors que l’image de la religion ressurgit, associée au rigorisme moral ou rituel quand ce n’est pas à la violence. Tout cela renforce encore la distance que nos contemporains ont prise vis à vis de l’Eglise.
En réalité que cachent ces attitudes ? Ne faut-il pas discerner d’autres formes de quêtes spirituelles dont la découverte de la foi par des adultes ou la vitalité de groupes chrétiens seraient des indices patents ?
Le défi pour l’Eglise est-il tant l’indifférence religieuse que de nouvelles aspirations spirituelles sur lesquelles nous ne savons pas mettre de nom?
Le réseau Incroyance-Foi, en partenariat avec Arts, cultures et foi , l’Institut d’Etudes Religieuses, l’Antenne Sociale de Lyon, la Communauté Mission de France, Chrétiens dans l’Enseignement public, et la Pastorale nouvelles croyances propose une journée grand public avec le philosophe Guy COQ pour réfléchir ensemble à l’état et l’avenir de l’inscription de la foi chrétienne dans notre société sécularisée.
le 29 mai 2010 de 9h à 17h
Université Catholique de Lyon
Salle Buret
25 rue du Plat 69002 Lyon Métro: Bellecour
Renseignements Bernard Michollet 0 676 972 089
bernard.michollet@wanadoo.fr
Bibliographie:
Guy Coq « Inscription chrétienne dans une société sécularisée » Parole et silence, 2009.