Adam Laloum dans Schumann et Schubert salle Molière vendredi 3 mars. Il y avait de quoi être alléché ! La taille de la salle permet une intimité avec le piano, exactement à l’inverse des méga-salles que l’on veut économiquement rentable. Les Lyonnais peuvent se réjouir des cycles de musique pour piano ou tout petites formations dans la salle de l’ancien conservatoire.
Le jeu de Laloum est impressionnant. A peine si, par moment, il touche le clavier. La percussion devient caresse, juste une mise en vibration des cordes. Superbe.
Cela dit, ce vendredi soir, le pianiste avait dû faire la fête. Beaucoup trop de notes à côté. Dommage.