Comment, par la sérigraphie, rendre visible ce qui n’est plus ?
« Au début il y a un lieu, un lieu de vie sur lequel je souhaite travailler, j’essaie d’en comprendre, d’en saisir à la fois tout ce qui s’y voit : l’espace, la lumière, les couleurs… et, dans le même temps, ce qui ne se voit pas, ne se voit plus : l’histoire, les souvenirs enfouis, la charge symbolique » déclare Ernest Pignon Ernest…
Ernest Pignon Ernest.
Dernièrement, c’est dans les rues de Ramallah, qu’il a collé les représentations de son ami disparu, le poète palestinien Mahmoud Darwich.
Soit une intervention artistique conçue comme mémoire, esprit des lieux, prolongation fragile d’un combat…
jusqu’au 25 février
du lundi au vendredi de 10 heures à 18 heures
le samedi de 14 h 30 à 18 heures
à la galerie IUFM Confluences 5 rue Anselme Lyon 4ème
Entrée libre