RESONANCES

Résonances : exposition de peintures de Walburga PUFF (BASA 2013) du 16 au 25 mai à  la Chapelle Sainte Marguerite à  Sainte Foy-lès-Lyon.

« Résonances », d’une part en raison du lieu d’exposition – une ancienne chapelle – et d’autre part parceque la plupart des œuvres expoées font écho à  des thèmes bibliques qui sont les principales sources d’inspiration de l’artiste.

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Extrait d’interview BASA 2013
« Comme Walburga Puff, peintre d’origine allemande, pour qui « le spirituel est un processus allant du voir au croire » . « Le processus artistique consiste également à  dépasser l’esthétique première pour aboutir à  une véritable présence. C’est de l’ordre de la transcendance. Une démarche qui n’est pas forcément dans l’air du temps », estime-t-elle.

Chapelle Saint Marguerite Rue Sainte-Marguerite. 69110 STE FOY LES
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Marie Stuart de Joseph Brodsky

Vingt sonnets à  Marie Stuart

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Composés en 1974, ces poèmes sont nés d’une promenade au jardin du Luxembourg, à  Paris, où le poète en exil croise la statue de Marie Stuart, dans l’allée des reines de France. Marie Stuart –
Plusieurs figures de femmes qui ont compté pour lui se superposent à  la silhouette de la reine d’Écosse, reine de France par son bref mariage avec François II. Dans une langue qui joue sur les deux registres du trivial et du sublime, de la citation et de son détournement, l’évocation amoureuse est l’occasion pour le poète d’une rêverie mélancolique sur l’exil et la séparation, la mémoire et l’histoire, la littérature européenne, les bifurcations de son propre destin. Le choix du sonnet, forme exemplaire de la culture européenne, est aussi un hommage à  ceux écrits par Marie Stuart.

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Marie Stuart

Quatre langues : une œuvre

Le choix que nous faisons de proposer aux lecteurs français une édition quadrilingue d’une aussi courte séquence poétique relève d’une évidence, tautologique comme elles le sont toutes : la traduction n’est pas seulement une restitution plus ou moins heureuse d’un texte inaccessible, elle est surtout le moment où le traducteur invente une langue dans laquelle l’œuvre originelle vient se glisser pour exister tout entière là , nulle part ailleurs, loin du triste dépit trop souvent exprimé comme une fatalité, par le lecteur ignorant la langue d’origine, que le vin de la traduction est un vin coupé d’eau. Le texte que le lecteur a sous les yeux est un vin miraculeux. Ce qu’il lit en traduction est bien le texte original d’une œuvre qui n’existera jamais pour lui autrement, le seul texte sur lequel il devra compter pour s’enivrer de vin, d’amour et de poésie. Tout traducteur est appelé à  se hisser au rang d’auteur pour accomplir cette transformation miraculeuse. C’est d’autant plus vrai quand les traducteurs se nomment Peter France, Claude Ernoult, André Markowicz, ou encore, Joseph Brodsky.

L’idée de présenter dans un même livre deux versions françaises est née de notre désir d’illustrer cette évidence. Vouloir y joindre le texte russe et la traduction anglaise revue par l’auteur permet également de faire sa place à  une approche traditionnelle et comparatiste de la traduction pour les lecteurs qui connaîtraient, sinon les deux, au moins l’une des langues que Brodsky maîtrisait.

Hommage à  Paris

Il y a sans doute beaucoup de fidélité à  un idéal de culture à  vouloir célébrer de manière aussi fétichiste la poésie d’un auteur. Nous aimerions surtout que le lecteur français s’empare de la vision qui s’exprime dans ces Vingt sonnets à  Marie Stuart, sonnets d’amour absolu, au-delà  de la question linguistique : nulle part ailleurs dans l’œuvre de Joseph Brodsky, Paris, sa culture, et jusqu’à  sa géographie n’ont été aussi présents qu’en ce texte fugitif d’un exilé venu respirer, le temps d’une brève promenade dans le jardin du Luxembourg, un idéal de liberté et de culture. Raison de plus pour faire en sorte que les lecteurs y entrent par plusieurs portes.

André Markowicz assure l’une des traductions et la postface du livre.

Cette nouveauté a suscité l’intérêt de journalistes et/ou écrivains et pas des moindres. Voici trois liens vers des recensions consacrées à  cette parution :

[->http://poezibao.typepad.com/flotoir/2014/03/des-ruines-vivantes-et-vibrantes-.html](Florence Trocmé)
La République des livres (Pierre Assouline)
Le feu de Prométhée et le gourdin de Diogène

BRODSKY_LDDP_LIVRE_Né à  Saint-Pétersbourg en 1940, Joseph Brodsky quitte l’école à  16 ans, préférant se cultiver seul par la lecture. Il apprend ainsi le polonais et l’anglais pour lire, entre autres, CzesÅ‚aw MiÅ‚osz et John Donne. Remarqué par la poétesse Anna Akhmatova, il acquiert dès les années 60 une réputation d’exception dans le cercle des poètes qui gravitent autour d’elle. C’est à  cette époque qu’il rencontre et tombe amoureux d’une artiste proche d’Akhmatova, « M.B. », dédicataire de nombreux poèmes. Elle est l’une des figures possibles des Vingt sonnets à  Marie Stuart. Abandonné par celle qu’il aimait, se déclenche dans le même temps contre lui une campagne ridiculisant sa poésie. Il est accusé par le régime soviétique de « parasitisme social ». Condamné à  cinq années de camp de travail, puis libéré après une campagne internationale, Brodsky est expulsé d’URSS le 4 juin 1972, mis de force dans un avion pour Vienne. Des amis influents lui facilitent son entrée aux États-Unis, où il enseignera la littérature dans diverses universités. Il est à  cette époque considéré comme le plus grand poète russe vivant du XXe siècle. Les éditions Ardis, de l’Université Ann Arbor (Michigan), publient à  partir de cette date sa poésie en russe. Elle est empreinte d’une vaste culture classique, travaillée par une lucidité qui ne répugne ni au lyrisme ni au sarcasme. Sa maîtrise de la langue anglaise lui permet rapidement d’assurer ou de superviser les traductions de ses poèmes et d’écrire dans cette langue. Le prix Nobel de littérature lui est attribué en 1987. Il a quarante-sept ans. Jusqu’à  cette date, ses œuvres circulaient en traduction, à  l’étranger, ou en samizdat, dans son pays d’origine. Cette circonstance donne sens à  notre édition. En 1990, 200 000 exemplaires de la première édition russe de ses poèmes s’arrachent en quelques jours. À partir des années 1990, l’influence intellectuelle de Brodsky est considérable aux États-Unis. Malade du cœur, le poète meurt, le 28 janvier 1996, sans jamais avoir accepté de revoir son pays natal. Il est enterré à  Venise, sa deuxième patrie d’adoption. « Seule la cendre sait ce que signifie brûler jusqu’au bout. »

Tout est permis

de Coline Serreau

France, 2014, 1h36

Sortie en France le 9 avril 2014.

documentaire

Documentaire sur le permis de conduire et ces Français qui se croient « tout permis », une comédie humaine, drôle et noire en même temps, comme le définit bien la réalisatrice.

Réalisatrice française célèbre pour ses comédies populaires, aussi drôles que pertinentes car les phénomènes de société servent de toile de fond – Trois hommes et un couffin (1985), La Crise (1992) ou Chaos (2001) – Coline Serreau nous propose aujourd’hui un documentaire décapant sur nos comportements au volant. Il y a 20 ans, la France instaurait le « permis à  points ». 12 points pour chaque conducteur et à  chaque amende ou effraction, des points en moins selon la gravité. Pour récupérer des points et pouvoir continuer à  conduire, un stage de sécurité routière est obligatoire.

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La réalisatrice a trouvé là  des gens issus de toutes les classes sociales et de tous les âges, qui aiment conduire et peuvent dire « c’est pas la vitesse que j’aime, c’est les accélérations »… Des récidivistes sûrs de leur façon de conduire, qui s’estiment victimes de la bêtise des autres et de la cupidité du gouvernement. Pour Robert Thibault, intervenant de stage : « C’est aussi un vrai portrait de société. Nous vivons dans une société qui va trop vite. Si vous n’êtes pas le premier ou la première vous passez pour un bon à  rien. Ces individus, souvent commerciaux ou chefs d’entreprises, ont l’impression qu’ils sont « obligés » de conduire vite. Comme ils sont « obligés » de téléphoner au volant. Il reste du chemin à  faire avant que la « bagnole » cesse d’être un symbole de puissance. »

La leçon sera donc aussi pour le spectateur qui pourra apprendre que 90 pour cent des Français ont entre 12 et 10 points sur leur permis ou que, comme le dit très bien un expert en sécurité routière : « Les infractionnistes compulsifs sont minoritaires, mais ils sont quelquefois soutenus par des lobbies industriels puissants qui relayent et amplifient considérablement leurs propos dans les différents médias. »

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Un film salutaire qui, sans commentaire, mais simplement en donnant la parole à  de nombreux protagonistes, permet de dézinguer les lieux communs (à  propos des autoroutes allemandes ou du nombre de personnes qui conduisent sans permis) et de pointer du doigt les lobbys des alcooliers et de l’industrie automobile qui encouragent la vitesse sur la route et la consommation d’alcool en toutes circonstances. Paroles de ceux qui participent à  ces stages, contraints puisqu’ils ont perdu tous leurs points. Et paroles bien différentes de ceux qui animent ces stages et dont le rôle est d’abord de faire prendre conscience que chacun est responsable des autres.

Magali Van Reeth

SIGNIS

Real

de Kiyoshi Kurosawa

Japon, 2013, 2h07

Sélection officielle Locarno 2013

Sortie en France le 26 mars2014.

avec Haruka Ayase et Takeru Satô.

Avec un soupçon de science-fiction, quelques frissons et rebondissements, l’histoire d’un jeune couple qui puise ses forces dans l’amour pour vaincre bien des monstres.

Réalisateur prolifique, Kiyoshi Kurosawa travaille aussi bien pour la télévision que pour le cinéma et ses longs métrages de fiction sont souvent sélectionnés dans les grands festivals européens. L’an dernier, on a pu voir en salle les deux volets de Shokuzai. Très tôt, il a été connu pour ses films tirant souvent du côté fantastique, non pas celui qui fait peur (même si parfois…) mais celui qui amène le spectateur aux coffins de la complexité humaine. Il est aussi capable de toucher un plus large public, comme avec Tokyo Sonata en 2008.

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Real est l’histoire d’un jeune couple amoureux. Atsumi et Koichi se sont connus à  l’école primaire, dans une petite île japonaise, perdus de vue et retrouvés à  l’université. Suite à  une tentative de suicide inexpliquée, Atsumi, créatrice de mangas, est dans le coma. L’équipe médicale propose à  Koichi d’entrer en contact avec elle, grâce aux dernières découvertes dans le domaine des neurosciences. On sait que le cinéma demande un minimum de croyance de la part du spectateur, les films fantastiques encore plus. Heureusement ici, les explications scientifiques sont réduites au minimum, le sujet du film étant ailleurs, dans la possibilité de cette communion entre l’inconscient de deux personnages.

Dans la brume des rêves, deux êtres se cherchent et concentrent tout leur amour pour ne pas se perdre, pour aider l’autre « à  trouver la sortie ». Kiyoshi Kurosawa utilise sans lourdeur les effets spéciaux et une belle palette de lumières pour nous faire entrer dans cette « inconscience » si pertinente où les peurs enfouies deviennent de véritables monstres. Pour revenir à  la vie, dans la réalité de leur amour, Atsumi et Koichi ont à  se battre contre la culpabilité. La leur mais aussi celles de leurs pères. Un thème récurrent dans le cinéma japonais mais qui touchera bien des spectateurs occidentaux !297916_25b0906b15c1cc5f1463ec68eda7ee32.jpg

A mi-chemin entre le conte fantastique et le poème visuel, Real est aussi une histoire d’amour où la force des sentiments permet à  ce jeune couple de s’arracher aux ténèbres de l’enfance.

Magali Van Reeth

Au commencement, la gratitude

Thème de la prochaine conférence à  l’Agora tête d’Or

Mardi 8 Avril 2014 à  19h30

Conférence suivi d’un débat par Olivier ABEL, philosophe et professeur d’éthique à  l’Institut protestant de théologie de Paris.

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Le parcours de la reconnaissance de Paul Ricœur s’achève dans l’agapè et la reconnaissance mutuelle. Le moment théologique culminant de la gratitude n’est pas l’exception sublime, mais la condition ordinaire de toute existence : tout commence par l’asymétrie radicale de la grâce, et rendre grâce est au principe de toute reconnaissance.

Bobines du sacré. Festival Religions et cinéma

Pour la deuxième année consécutive, les Bobines du sacré, festival Religions et cinéma, questionne la place des religions au cinéma. Projections de documentaires et de webdocs en présence des réalisateurs et conférences animées par de grands noms de l’histoire des religions ponctuent dix jours de réflexion autour du thème du Vivre ensemble, dans toute la ville de Lyon.

du 1er au 12 avril 2014

L’idée des Bobines du sacré est née du constat qu’en France, il n’existait pas de festival traitant des religions au cinéma. Organisé par l’Institut Supérieur des Etudes Religieuses et de la Laïcité (ISERL), ce festival se penche sur le rapport entretenu par le septième art et les religions. A travers une vingtaine de projections (films, documentaires) et trois conférences, plusieurs problématiques sont abordées :

  • La diversité des relations
  • Réactions autour de la création
  • La figure du missionnaire dans sa rencontre avec l’autre
  • Vivre en communauté

Ouvertes au public et aux scolaires, les projections et les conférences sont suivies de débats, dans une volonté de nourrir les réflexions autour des thèmes évoqués. De plus, ce festival s’inscrit désormais dans le paysage culturel lyonnais puisque plusieurs institutions accueillent cette année les manifestations du festival, comme la Bibliothèque municipale de Lyon, le Rize de Villeurbanne, le cinéma Les Alizés de Bron et la Maison de l’Orient et de la Méditerranée. Une journée est aussi prévue à  l’Université de Montpellier.
En présence de Philippe Martin, directeur de l’ISERL, Céline Dréan, réalisatrice du documentaire Dans les murs de la Casbah (prix Medea et Grand prix du FUP 2013), François Boespflug, historien des religions etc
L’ISERL Créé en 2009, l’Institut Supérieur d’Études des Religions et de la Laïcité fédère plusieurs laboratoires issus de deux universités principales : l’Université Lumière Lyon 2 et l’Université Jean Moulin Lyon 3. Il s’intéresse aux religions sous plusieurs aspects (philosophie, droit, anthropologie, histoire, lettres). Cette pluridisciplinarité permet de questionner la vie sociale religieuse de l’Antiquité à  nos jours.

Programme : bobines2014programme2.pdf

Contacts
Louisa Charfa
Chargée de communication de l’ISERL
louisa.charfa@univ-lyon2.fr
04 26 31 87 98
Magali Guénot
Doctorante
magali.guenot@univ-lyon2

Concert pour le temps de la Passion

L’ensemble Vox Laudis, choeur diocésain propose

  1. Vendredi 11 avril à  20 h 30, Chapelle de Beaunant à  Saint Genis Laval et
  • Dimanche 13 avril à  16 h 30 Eglise de la Rédemption à  Lyon

deux concerts pour le temps de la Passion.

Au programme : des oeuvres de Mendelssohn, Bruckner, Liszt, Franck

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Renseignements et réservations
06 30 66 13 09 ou voxlaudis@gmail.com
: 15 €
Prévente : 12 € – réduit : 10 € – sur place

Geneviève Cornu, UN PARCOURS PICTURAL à  Confluences Polycarpe

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Du 3 avril au 27 avril 2014

Inauguration : jeudi 3 avril à  partir de 18h

les jeudi, vendredi, samedi de 15h à  18h
entrée par le passage Mermet : 25, rue René Leynaud

« Les images qui sont des forces psychiques premières sont plus fortes que la pensée. » (G. Bachelard)

La plupart des images visuelles peuvent se traduire en mots : les insignes, les allégories, les graphiques Par contre, il est impossible de cerner les images mentales qui permettent l’interconnexion de toutes sortes de sensations : elles fondent la création artistique.
En effet, chez l’artiste prévalent les correspondances sensorielles et culturelles qui fondent notre identité psychique.
Cette faculté « synesthésique » joue un rôle iconoclaste, éloignant la pensée des codes, des langages, des systèmes. Ainsi la peinture ne peut se satisfaire de la seule représentation des objets ou des idées nommables.
Vouloir classer les images selon leur aspect plus ou moins réaliste, c’est-à -dire leur ressemblance avec les apparences, et leur possibilité d’être nommées, équivaut à  les soumettre à  l’ordre des langages. Paradoxalement, lorsqu’un artiste élabore son propre système (on parle alors d’un « langage » artistique), l’oeuvre devient un produit, elle est prévisible, programmable, elle n’a plus le label de la création.
La pensée artistique est toujours en mouvement, elle trace des passages neuroniques entre les sensations, les émotions, la culture, les connaissances. C’est une pensée inquiète, cherchant l’illumination intuitive, la « rencontre » ouverte par le hasard : la rupture.
Pour illustrer ces réflexions, prenons l’exemple des plans d’ingénieur. Encodés pour la précision du message technique, les voici détournés de leur fonctionnalité par l’imagination qui fait surgir des monstres, des villes, des totems, des masques improbables. (ci-joint
« face d’insecte »)
De grandes images mentales, des schèmes personnels, le terreau du trésor culturel, les émotions, les sensations, tout est bon pour nourrir la pensée artistique et provoquer le geste.

Geneviève Cornu

« PSAUMES » de Claudel

Le Collège Supérieur et Les Alternatives Catholiques proposent une représentation théâtrale

« PSAUMES » de Paul CLAUDEL par Stéphane DACLON

vendredi 4 avril 2014 à  19h00

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Eglise Saint-Paul, 3, place Gerson 69005 Lyon
Entrée : 12 euros – Etudiants : 6 euros
(durée du spectacle : environ 1h15)


Renseignements :

  • LE COLLEGE SUPERIEUR contact@collegesuperieur.com – [->www.collegesuperieur.com ] – Tél 04 72 71 84 23
  • LES ALTERNATIVES CATHOLIQUES contact@lesalternativescatholiques.fr – [->www.lesalternativescatholiques.fr]

« L’indifférence religieuse »

Dans le cadre des actions du service « arts, cultures et foi », une journée de réflexion sur le thème « L’indifférence religieuse » en partenariat avec la Mission de France est proposée :

Samedi 26 Avril 2014 de 9h30 à  16h30

Maison Saint Jean-Baptiste 6, avenue Adolphe Max 69002 LYON

Mépris de toute forme religieuse ou refuge dans un monde difficile.

A partir de l’analyse d’Albert Rouet dans son livre « L’Étonnement de croire », nous essayerons, au cours de cette journée de mieux comprendre nos contemporains marqués en profondeur par l’indifférence religieuse.

Le matin, avec Pierre Lathuilière, nous interrogerons cette « indifférence », qui n’est pas seulement religieuse, pour en découvrir aussi les aspects positifs comme autant de points d’appui.

L’après-midi, Bernard Michollet nous aidera à  mieux cerner l’individualisme contemporain et la nouvelle construction du sujet.

Inscription auprès de Gilbert Brun :
gilbert.brun@online.fr
En savoir plus :

SIF_140426_Arg-Pub-1.pdf