Voix intérieures et désirs enfouis : qui parle en nous ? Les forces obscures

Débat organisé dans le cadre du cycle « Les vérités qui dérangent », conçu et organisé par la Villa Gillet, le Théâtre de la Croix-Rousse et l’Opéra de Lyon

Avec : Lionel Obadia, Michel Terestchenko, Michel Schneider

Débat organisé en écho au festival d’opéras dédié à  Benjamin Britten (Peter Grimes, Le Tour d’écrou, Curlew River) du 10 au 29 avril à  l’Opéra de Lyon.

D’une grande modernité, l’oeuvre de Benjamin Britten, compositeur majeur du XXème siècle, n’a eu de cesse de s’attacher à  des questions dérangeantes : marginalité, folie, homosexualité, souillure morale… Ces thèmes qui traversent son oeuvre serviront de point de départ à  ce débat. L’art, la philosophie et la psychanalyse interrogent la capacité humaine au mal. Face à  ce scandale, l’artiste n’aurait-il pas lui aussi la capacité à  en saisir le mystère et à  révéler les forces obscures de la psyché ? Comment s’articulent volonté et perversion ? Comment saisir les monstruosités intérieures d’un individu et les articuler avec une époque ? De quelle manière pouvons nous encore penser le mal aujourd’hui ?
Au miroir de l’oeuvre de Benjamin Britten, un philosophe, Michel Terestchenko, un anthropologue, Lionel Obadia et un écrivain, psychanalyste et musicologue, Michel Schneider tenteront de répondre à  cette question.

En partenariat avec la librairie Le Bal des Ardents

> 5 € / Gratuit pour les lycéens, les étudiants, les demandeurs d’emploi et les détenteurs de Pass’Opéra Jeunes et solidarité sur présentation d’un justificatif.

Réservation auprès de l’Opéra de Lyon
www.opera-lyon.com
| 04 69 85 54 54

Ida

de Pawel Pawlikowski

Pologne/Danemark, 2013, 1h20

Sortie en France le 12 février 2014.

avec Agata Kulesza et Agata Trezbuchwoska

Une jeune femme, à  la veille de prononcer ses vœux, découvre l’histoire de sa famille et de son pays. Un film où l’esthétique épurée permet de tenir le drame à  distance.

Pologne, 1962. Ida a grandi dans un orphelinat puis dans un couvent. C’est une très jeune femme et, avant de prononcer ses vœux définitifs, la mère supérieure l’envoie rencontrer sa tante Wanda. C’est la seule famille qui lui reste. Mais Wanda est une femme fantasque, peu soucieuse des conventions, qui cache son chagrin dans l’alcool. Elle bouscule Ida mais l’accompagne dans ses recherches et lui permet finalement de choisir pleinement sa vie.301358_48bd0e77fee991029e93699f90a9b850.jpg

Après deux films assez intrigants, My Summer of Love (2004) et La Femme du Vème (2011), le réalisateur trouve une forme épurée pour évoquer des sujets sensibles. Il y a bien sûr l’itinéraire d’Ida, dont on voit tout de suite la fragilité de sa jeunesse face à  l’exigence d’une vie religieuse mais Pawel Pawlikowski ne veut pas seulement filmer son trouble au moment de s’engager. Il ne veut pas oublier l’histoire de son pays pendant la Deuxième guerre mondiale, lorsque les juifs polonais ont été massacré par leurs compatriotes : « l’Église catholique était le socle de l’identité nationale polonaise. Et cela s’est encore renforcé durant la période communiste. Historiquement, c’était compréhensible, mais d’un autre coté, cela a limité, voire déformé la foi chrétienne chez les Polonais, en lui donnant un aspect tribal et exclusif, en oubliant ce qui est transcendantal et universel dans le christianisme. A travers le personnage d’Ida, je voulais explorer cette question-là . »301358_9c287793a6368e67133b46c8aa4e44c2.jpg

Filmé en noir et blanc, dans un format carré qui resserre le cadre et élimine le spectaculaire, le film est très esthétique. La jeunesse et la beauté presque enfantine d’Ida s’en trouvent rehaussées, alors qu’on a l’impression d’être au plus près de son intimité. Lorsqu’elle ôte enfin son voile, nous sommes presque gênés de la surprendre ainsi. Pawel Pawlikowski suggère beaucoup et montre peu, comme dans la scène de la forêt où Ida trouve la preuve matérielle de l’existence de ses parents. En faisant le vide dans le cadre, il donne corps au silence. Silence de l’Histoire et silence d’une foi qui doute. L’émotion, comme la mort, est discrète. Elle n’en est pas moins réelle et troublante pour ceux qui la ressentent.

Agata Kulesza (Ida) et Agata Trezbuchwoska (Wanda) donennt une très belle interprétation de leur personnage. A la limpidité d’Ida, qui n’a même pas conscience du trouble qu’elle provoque chez les autres, s’oppose la complexité de Wanda, élégante, frondeuse et déterminée qui va peu à  peu laisser échapper les fissures du passé, jusqu’à  se briser vraiment.301358_efe789f422add18cfe1d2367ecc9b81d.jpg

Et après ? demande Ida au séduisant jeune homme qui vient de lui faire découvrir le jazz et qui n’aime pas les serments. Et après ? un mariage, un chien, des enfants Ida sait alors qu’elle est prête pour une autre vie.

Magali Van Reeth

SIGNIS

François d’Assise, un saint pour le XXIème siècle ?

François d’Assise, un saint pour le XXIème siècle ?

Conférence à  Agora Tête d’Or

Mardi 25 Février 2014 à  19h30

Conférence suivi d’un débat par Bernard FORTHOMME , franciscain, professeur de théologie aux Facultés Jésuites de Paris (Centre Sèvres). Auteur de « Théologie de l’Aventure », CERF, Paris, 2013.

En quoi le nom de François nous provoque-t-il aujourd’hui, alors que l’évêque de Rome vient de choisir ce nom ?

Nous évoquerons la question de l’évangélisation à  partir des pauvres, avec les enjeux d’une parole libre et courageuse, de la fraternité élargie et audacieuse, et d’un renouvellement de nos relations compromises avec la création, pour une vérité ouverte face au relativisme délitant le lien social. Une nouvelle réflexion théologique plus attentive à  la sagesse inspirée par l’Esprit.

Participation aux frais : 7 € / adhérents : 4 € / étudiants : gratuit.
à  l’agora tête d’or,
93 rue Tête d’Or, 69006 Lyon

Pour en savoir plus
[->www.agoratetedor.com]
ou 04 78 52 22 54

Le Vent se lève

de Hayao Miyazaki

Japon, 2013, 1h30

Mostra de Venise 2013, compétition officielle.

Sortie en France le 22 janvier 2014.

film d’animation pour adolescents et adultes

Enraciné dans la réalité avec le personnage de Jiro Horikoschi et la période tourmentée de l’histoire qu’il traverse, ce film réussit la gageure d’être fidèle à  la tradition de lyrisme délicat du grand maître du dessin animé japonais.

La nuit, le petit Jiro rêve d’avions et le jour, il dévore les livres qui racontent l’épopée des premiers grands concepteurs, Giovanni Caproni en tête. Sa myopie l’empêchant de piloter, l’avenir s’ouvre à  lui comme ingénieur. Travailleur infatigable, il accède rapidement à  un poste important dans l’industrie aéronautique japonaise naissante (où des couples de bœufs tirent les avions jusqu’au terrain !). Ses chefs l’envoient donc en Allemagne pour progresser plus vite.273764_9359df7fadcd2561c600c4f2108c7648.jpg

Le jour du tremblement de terre de Tokyo en 1923, il vient au secours d’une jeune fille et de sa mère. Quelques années plus tard, il retrouve par hasard Nahoko à  la montagne où elle soigne sa tuberculose. Dès lors sa vie professionnelle se double d’une vie sentimentale.273764_7d46c9056cbb5b4c9de86b9684fdcd07.jpg

« Le vent se lève, il faut tenter de vivre », le final du Cimetière Marin de Paul Valéry qui donne son titre au film fournit la double clef de cette belle histoire : cité en français (!!) par Caproni, il est la métaphore poétique de l’aventure aérienne. Repris par la jeune Nahoko, il devient l’injonction courageuse qui signe la générosité de la jeune femme ainsi que la profondeur de son amour pour Jiro. Les derniers mots qu’elle lui adresse avant de mourir y font directement écho : « vis ta vie ».

Car l’engagement de Jiro dans son métier-passion est total et sa réussite ne s’encombre pas de scrupules : inventeur du chasseur bombardier Zéro que les kamikazes ont rendu tristement célèbre, il ne s’interroge jamais sur l’utilisation mortifère de son génie.273764_37403697c01f8470d7c8dfc03aa09731.jpg

Enraciné dans la réalité avec ce personnage de Jiro Horikoschi et la période tourmentée de l’histoire qu’il traverse (tremblement de terre, grande dépression, guerre aux côtés de l’Allemagne nazie), ce film réussit la gageure d’être fidèle à  la tradition de lyrisme délicat du grand maître du dessin animé japonais. Les paysages, paisible campagne ou majestueuse montagne (explicitement référée à  La montagne magique de Thomas Mann), génèrent une douceur qui équilibre les scènes impressionnantes de séisme et de destruction d’avions. La musique due à  Joe Hisaïchi ajoute au charme de ce film-testament, Miyazaki ayant annoncé son intention d’arrêter là  sa carrière. Enfin « Le vent souffle où il veut » : puisse-t-il inspirer au maître encore quelque chef d’œuvre !

Michèle Debidour

SIGNIS

Viva la liberta

de Roberto Ando

Italie, 2013, 1h34

Sortie en France le 5 février 2014.

avec Toni Servilio et Valeria Bruni Tedeschi.

Le thème du kagemusha n’est pas nouveau au cinéma mais le réalisateur le met ici à  la sauce italienne, savoureuse parce que s’appuyant sur un Toni Servilio au talent époustouflant.

Enrico Oliveri (Toni Servilio) leader de l’opposition, est déprimé : les sondages sont mauvais et les élections proches se présentent mal pour lui. Il disparaît alors sans laisser d’adresse, plongeant son entourage dans l’embarras. C’est son épouse qui trouve la solution : faire appel à  son frère jumeau, philosophe de son état affligé d’une maladie bipolaire.

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Giovanni (aussi Toni Servilio) relève brillamment le défi et, en quelques jours, devient très populaire : orateur habile, il s’appuie sur sa culture philosophique pour développer une fantaisie utopiste qui ne manque pas de séduire son public. Surtout il est aussi enjoué que son jumeau était sérieux et réenchante la relation à  son électorat.

Adaptant son propre roman « Le trône vide », Robert Ando nous propose une comédie politique réjouissante. Le thème du kagemusha n’est pas nouveau au cinéma mais le réalisateur le met ici à  la sauce italienne, savoureuse parce que s’appuyant sur un Toni Servilio au talent époustouflant. Sacré meilleur acteur européen pour La Grande Bellezza de Paolo Sorrentino, l’acteur incarne ici chacun des deux frères avec brio.

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Cette pochade n’a pas l’ambition d’une fable politique et son charme tient à  la légèreté du propos. Pas de satire de la part de cet original qui ne ridiculise pas la fonction politique mais démontre tout au plus qu’elle a besoin d’humour et d’idéal. L’intrigue s’essouffle un peu avec la parenthèse parisienne où Enrico retrouve un amour de jeunesse (Valeria Bruni Tedeschi). Mais le spectateur gardera en mémoire quelques scènes rafraîchissantes comme la rencontre du député avec la chancelière qui se transforme en élégante scène de danse.

Michèle Debidour

Signis

Le Rize, Mémoire, Culture, Echange

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La rue, un espace confessionnel ?

Débat sur la place du religieux dans la ville contemporaine

L’amphithéâtre
Vendredi 28 février – 9h > 17h

Sujet éminemment politique et conflictuel, la place du religieux dans l’espace public est un débat contemporain qui interroge autant les chercheurs que les collectivités publiques, qui constatent, font des choix, agissent. Cette rencontre organisée par le Rize et l’Iserl (Institut supérieur d’étude des religions et de la laïcité) donnera la parole aux scientifiques, historiens ou sociologues des religions, français mais aussi d’autre pays européens ou extra-européens pour élargir les angles de vue de ce débat. La journée sera également ouverte aux récits d’expériences de terrain qui tentent de concilier au quotidien neutralité des pouvoirs et des services publics et liberté d’exercice des cultes.

Au sommaire de cette journée :

LE POIDS DE L’HISTOIRE EN FRANCE
• Quelle religion pour la rue à  l’époque moderne ?
• La croix sur le pavé : processions et manifestations catholiques en France aux 20e et 21e siècle.
• Les catholiques et la ville : le « laboratoire » villeurbannais, des années 1950 aux années 1970.

LA VISION HORS D’EUROPE
• La Tunisie
• Le Sénégal
• L’Algérie

DE NOUVEAUX ESPACES DANS LA FRANCE ACTUELLE ?
• La rue aujourd’hui : un espace confessionnel à  Villeurbanne et à  Lyon ?

CONCLUSION
• Ville et religion au 21e siècle : laboratoire de la « nouvelle » diversité. Enjeux, défis, potentialités

Cette journée de débat sera ponctuée de slam’actions poésies proposées par Mehdi Benachour alias Lee Harvey Asphalte, slameur UnDeuxGround de la compagnie Gertrude II.

Plus de renseignements

[->lerize@mairie-villeurbanne.fr]

Les conférences tout public – LE COLLEGE SUPERIEUR‏

Conférence La liberté de l’enseignement

avec, Anne COFFINIER, fondatrice et directrice générale de la Fondation pour l’Ecole
Bruno POUCET, professeur en sciences de l’éducation, directeur du laboratoire CAREF et de la revue Carrefours de l’éducation
Animé par Xavier DUFOUR, responsable du département Éducation au Collège Supérieur

Mercredi 26 février à  20 heures

Conférence Avons-nous toujours raison d’exiger des raisons ?

avec Raphaël GARRIGUE, philosophe

Mardi 25 février 20 heures

Début de cycle Les grandes doctrines morales

Qu’est-ce qu’une morale ?

Jean-Noël DUMONT, philosophe agrégé – Cycle DOCTRINES MORALES –

Jeudi 06 février 20 heures

Aristote, vertu et bonheur – Jean-Noël DUMONT, philosophe agrégé – Cycle DOCTRINES MORALES –

Jeudi 27 février à  20 heures

Formation management “UNE PENSÉE CLAIRE“ :

Une pensée claire pour une action managériale pertinente

« LA DECISION »

Destinée aux managers, aux DRH et aux avocats associés, cette journée de formation du Collège Supérieur comprend une réflexion sur le sens de nos actions et une mise en œuvre dans les pratiques managériales.

Méthodologie en 4 temps : clarification des concepts et illustration par des cas concrets, appropriation des concepts et mise en situation, acquisition des méthodes et outils, mise en place d’un plan d’action individuel de progrès.

Jeudi 27 février de 9h30 à  17h30,

DEJEUNER PHILOSOPHIQUE

Jeudi 13 février 2014, de 12h30 à  14h00
60 € le repas (entrée, plat, dessert, vin, café)
A l’INSTITUT PAUL BOCUSE, Ecully LYON
Avec Marie BERENGUER, consultante en management et développement des compétences et Mathilde NAEGELEN, philosophe et consultante en développement des ressources humaines

Justice – ouvert à  tous
Animé par Bruno ROCHE ou Mathilde NAEGELEN, philosophes
A l’Institut, nouveau restaurant d’application de l’INSTITUT PAUL BOCUSE – Place Bellecour –

Contact/ Inscriptions : florence.krauth@collegesuperieur.com,60 € le repas (entrée, plat, dessert, vin, café Tél. 04 37 28 64 02

En savoir plus pour toutes les conférences du Collège Supérieur :
[->http://www.collegesuperieur.com/]

Chrétiens d’Orient : ombres et lumières

Rencontres avec Pascal Maguesyan, journaliste, notamment sur RCF, autour de son dernier livre,

Chrétiens d’Orient : ombres et lumières

  • jeudi 6 février à  18 heures, librairie La Procure Lyon 2ème
  • samedi 15 février à  20 heures à  l’église arménienne Saint Jacques Lyon 3ème

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Pascal Maguesyan, en savoir plus :

Journaliste chevronné en radio, presse écrite et multimédia, Pascal Maguesyan, également auteur-photographe, sillonne l’Orient chrétien depuis plus de dix ans, de l’Égypte jusqu’en Iran en passant par la Syrie, le Liban, Israël, la Palestine, la Turquie, l’Irak et l’Arménie. Il en a exploré les dynamiques communautaires, sociales, politiques et religieuses, mais aussi les splendeurs architecturales, invisibles des profanes et parfois des spécialistes, tant certains sites sont isolés, oubliés ou pillés.

Ces trésors spirituels et architecturaux sont presque partout menacés. De la lumière, ils basculent progressivement dans l’ombre. Les chrétiens d’Orient sont des résistants. Les carnets de voyages de Pascal Maguesyan nous révèlent une mosaïque de portraits et de sites exceptionnels : la maternité chrétienne de Bethléem où l’on assiste à  la naissance de Georges et où viennent accoucher essentiellement des femmes musulmanes ; le monastère antique de Mar Moussa en Syrie, sauvé dans les années 1980 par le jésuite italien Paolo Dall’Oglio, un homme de dialogue que le régime de Bachar al-Assad a expulsé en 2012 ; l’incroyable oasis spirituelle d’Anaphora, fondée par le père Anba Thomas, dans le désert égyptien, qui semble faire écho à  l’Utopia de Thomas More ; les chiffonniers du Caire – dont on redécouvre les origines coptes – considérés comme la lie de la société alors qu’ils sont en réalité si dignes et paisibles ; le monastère arménien totalement oublié et inaccessible de l’apôtre Saint Barthélemy – l’un des douze – aujourd’hui situé dans un camp militaire turc ; les pèlerins arméniens et chaldéens de Saint Thaddée – autre apôtre de Jésus – , au nord de l’Iran, réunis une fois par an, fin juillet, sous des tentes, dans un espace monastique sublime…

Pause Caddie au Centre Culturel Saint Marc

9 représentations de « Pause Caddie » par la Troupe de la Ficelle au Centre Culturel Saint Marc
Une comédie de Jean-Charles GAILLARD, mise en scène par Pierre STAGNARA.

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  • Vendredi 7 février à  20 h 30 au profit de l’association « Vivre aux Eclats », des clowns à  l’hôpital
  • Samedi 8 février à  20 h 30
  • Dimanche 9 février à  16 h 30, au profit de l’association Kiwanis Lyon Lumière
  • Vendredi 14 février à  20 h 30
  • samedi 15 février à  20 h 30, au profit de l’association : « Vaincre la Mucovicidose »
  • dimanche 16 février à  17 heures au profit de l’association « Les amis de l’Hôpital de Goundy, pour le projet : amélioration des conditions sanitaires de l’hôpital
  • vendredi 21 février à  20 h 30 au profit du Lions Club Lyon Doyen au profit de la Fondation Richard
  • samedi 22 février à  20 h 0 au profit de l’association Partage Lyon pour les enfants du Honduras pour le projet de création d’une bibliothèque.
  • dimanche 23 février à  16 h 30

L’histoire :

Un hall d’un immeuble, impeccablement tenu par une concierge plutôt bourrue. Dans cet immemble, vivent un député et sa femme ainsi qu’un jeune couple bohème. L’arrivée de deux SDF, une voyante et son compère amnésique va bouleverser leurs habitudes tranquilles.
Ajoutez à  cela une pincée de suspens, un mystérieux enlèvement, la recherche d’une identité perdue et voilà  le départ d’une pièce drôle et dynamique.

Renseignements : cathjoubert@hotmail.fr