Restaurer l’Oeuvre de Le Corbusier, un nouveau rapport au patrimoine

Colloque sur la restauration du couvent de la Tourette

Couvent de la Tourette Vendredi 12 avril 2013

PROGRAMME
Matinée (10h-12h30)
Exposé introductif sur la restauration de la Tourette Didier Repellin, ACMH
Table ronde
«Restaurer la Tourette à  partir de points précis de la restauration et de la présentation des solutions retenues ».
Intervenants –
François Goven, inspecteur général des monuments historiques.

 L’équipe autour de l’architecte en chef des monuments historiques : Pascal Duméril- Conservation régionale des monuments historiques de Rhône-Alpes : Marie Bardisa, Pascal Curat

 Jacques Sbriglio, secrétaire général de La Fondation Le Corbusier.

 Des représentants des entreprises, Spie Batignolles

 Un représentant des dominicains.
Visite du couvent restauré
puis déjeuner dans le réfectoire du couvent

Après-midi (14h30-17h30)
Table ronde
«Partages d’expériences sur d’autres sites de Le Corbusier en France »
Modérateur pressenti : Michel Goutal, ACMH-Firminy, avec Jean-François Grange-Chavanis, ACMH, et Marie Bardisa et Franck Sénant, CRMH Rhône-Alpes-Marseille, l’unité d’habitation, François Botton, ACMH, et Robert Jourdan, CRMH-
Paris, La Cité du refuge et Armée du Salut, François Chatillon, ACMH, et Dominique Cerclet, CRMH Ile-de-France-Cabanon de Roquebrune, Pierre-Antoine Gatier, ACMH, et et Robert Jourdan, CRMH-La Fondation le Corbusier, Antoine Picon, président et Michel Richard, directeur.
Conclusion (17h30)
François Goven, inspecteur général des monuments historiques

En savoir plus :
A l’occasion de l’achèvement des travaux de restauration du couvent de La Tourette, un olloque est organisé sur place le vendredi 12 avril 2013 par les Dominicains de la Tourette et la DRAC Rhône- Alpes avec le soutien de la Direction générale des patrimoines (Ministère de la Culture et de la Communication).
Le 18 septembre 2012, un colloque intitulé «Réhabiliter le patrimoine du XXe siècle en béton » s’est tenu à  Reims à  l’occasion de l’achèvement de la restauration des halles du Bouligrin de Reims.
La fin du chantier de restauration du couvent de la Tourette est une nouvelle occasion de faire le point sur cette pratique relativement nouvelle qui est celle de la restauration de bâtiments récents. Plusieurs chantiers ayant été menés ces dernières années sur l’œuvre de Le Corbusier, il semble intéressant de resserrer la réflexion sur ces
expériences qui ont bien des aspects en commun : Cité radieuse de Marseille, chapelle de Ronchamp, couvent de la Tourette, Firminy : unité d’habitation, piscine et maison de la culture, cabanon de Roquebrune.
L’idée centrale du colloque est d’échanger autour de ces expériences récentes en matière de restauration des édifices de Le Corbusier en centrant la question sur le chantier et son rôle dans la restauration. Dès lors, le témoignage des concepteurs des projets de restauration, mais aussi (et surtout) celui des «praticiens » qui ont été au plus près du chantier est central, alors même qu’ils ont pris part, séance tenante, aux décisions, dans un processus expérimental, de protocoles de restauration novateurs ou inventés au gré des situations nouvelles.
A ce titre sont conviés les maîtres d’œuvre et leurs collaborateurs et chefs de projet chargés du suivi de chantier, les entreprises, les propriétaires maîtres d’ouvrage, les représentants des services de l’État-conservations régionales des monuments historiques- en charge de la maîtrise d’ouvrage ou du contrôle scientifique et technique, et la Fondation Le Corbusier.
Parallèlement à  la question centrale du chantier, on a repéré des questions nouvelles qui ont surgi en cours de route, et des manières de penser qui se sont imposées sans avoir été envisagées au départ, parmi lesquelles celle de la restauration du second œuvre : prévoit-on le remplacement à  l’identique ? L e respect de l’esprit prime-t-il sur celui de la forme? Quel parti choisir dans un lieu habité ou dans un bâtiment vide ou muséal ? Quelle fidélité à  l’objet ou à  l’esprit ?
Une présentation des différentes questions qui ont été envisagées successivement permettra de voir l’évolution des solutions apportées au cours des six dernières années de chantier à  la Tourette.
La réflexion s’élargira à  d’autres chantiers de restauration d’édifices de Le Corbusier en France ces dernières années, ou en préparation. A travers le croisement des démarches de restauration et les techniques choisies, on verra sans doute que les solutions adoptées s’élaborent à  plusieurs, en cours de chantier, avec nécessairement une phase d’expérimentation.

Colloque Art – Science entre forme et chaos

Jeudi 28 et vendredi 29 mars 2013
à  l’ENS et aux Echappées Belles – Lyon

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Inscription obligatoire – Renseignements et réservations
par téléphone : 04 78 64 84 98 – par mail : contact@ciehalleteghayan.org
en ligne : http://www.ciehalleteghayan.org/passactubill.html

Programme :
Jeudi 28 mars 2013
à  l’ENS de Lyon / Site Monod toute la journée – 46 allée d’Italie, Lyon 7ème

9h 30 : Accueil Amphithéâtre Schrà¶dinger site MONOD – ENS de Lyon.
10h : Introduction du colloque par M. Jacques Samarut, Président de
ENS de Lyon et Michel Hallet Eghayan, Chorégraphe, directeur de
la Compagnie de danse Hallet Eghayan.
10h 15 : Conférence sur le thème: “Du chaos à  l’ordre” par Jean-François Mattéi, philosophe, professeur émérite à  l’Université de Nice.
11h 05 : Intervention sur le thème: “La pratique du hasard, comment le Hasard peut intégrer la composition ?” par Robert Swinston,
Directeur du Centre National de danse Contemporaine d’Angers,
membre du CA de “Merce Cunningham Trust”.
12h / 14h : Pause repas.

14h : Intervention sur le thème “composition chorégraphique” par
Myriam Gourfink, chorégraphe, responsable du programme de
formation de l’Abbaye de Royaumont.
15h 15 : Etienne Ghys de l’Académie des sciences, directeur de recherche en mathématiques (CNRS – ENS Lyon), auteur du film Chaos.
16h 30 : Pause.
17h / 18h : Démonstration de danse par les danseurs de la Compagnie Hallet Eghayan au gymnase de l’ENS de Lyon (site Monod).

Vendredi 29 mars 2013
à  l’ENS de Lyon / Site Monod toute la journée – 46 allée d’Italie, Lyon 7ème
aux Echappées Belles à  20h30 – 65/73 rue du Bourbonnais, Lyon 9ème

9h 30 : Accueil Amphithéâtre Schrà¶dinger site MONOD – ENS de Lyon.
10h : Intervention sur le thème : “Comment la partition Benesh révèle la composition et témoigne de l’improvisation” par Eliane
Mirzabekiantz, responsable de la formation à  la notation du
mouvement Benesh au Conservatoire National Supérieur de
Musique et de Danse de Paris.
10h 45 : Pablo Jensen, Directeur de Recherches CNRS au laboratoire de
physique de l’ENS de Lyon.
12h / 14h : Pause repas.
14h : Intervention sur le thème: “Bases neuronales de la communication non verbale” par Mathilde Menoret, doctorante en
Neurosciences et Sciences Cognitives et Yves Paulignan,
chercheur au L2C2 – Université Lyon 1.
15h : Table ronde avec Pierre-Emmanuel Sorignet, Maître
d’enseignement et de recherche à  la Faculté des sciences sociales
et politiques de Lausanne, Philippe Verrièle, Critique et Historien
d’art, Michel HalletEghayan, Chorégraphe, Jean-François Mattéi,
Philosophe.
16h 30 : Conclusions du colloque par un danseur et P.E. Sorignet sur ses observations. .
20h 30 : “2ème Correspondance”, composition vivante de la Compagnie de danse Hallet Eghayan au théâtre “aux Echappées Belles” (65/73 rue du Bourbonnais Lyon 9ème).

Selon son intérêt, une agate rubanée, cette pierre dure aux motifs réguliers peut être appréhendée comme un ornement voire une curiosité esthétique ou un modèle d’organisation du réel qui questionne le scientifique. Ce dernier verra dans cette
pierre l’expression géologique de ces phénomènes d’auto-organisation temporelle ou
spatiale dont il s’agit de trouver les lois. En ces deux lectures, l’une poétique et
l’autre scientifique, participent l’une et l’autre à  définir l’agate.
L’enjeu de ce colloque est de même nature. En partant cependant non d’un objet,
mais d’une pratique artistique: la danse.
A travers diffusions, transformations et aléas, termes qui définissent par exemple les
lignes de Liesegang, le réel connaît certaine façon de s’organiser qui interroge le
chorégraphe plus que d’autre. Le compositeur de danse est parmi les artistes celui
dont la matière est le temps et l’espace -le Ma des japonais-et la façon d’y organiser
le mouvement ne peut faire l’économie de la question du hasard… Philippe Verrièle, critique, historien d’art

L’avis du philosophe Jean-François Mattéi.
Du chaos à  l’ordre

» La question qui s’est posée aux philosophes et aux savants, mais aussi aux poètes et, plus généralement, aux artistes, est celle du passage du chaos à  l’ordre. On peut supposer, en effet, soit que l’ordre cosmique existe de toute éternité – mais alors, comment comprendre cette pérennité d’un ordre qui serait autocréateur ? Soit que l’ordre cosmique est né d’un chaos antérieur, comme on le voit chez Hésiode. Une béance première a précédé l’apparition de la terre et du monde, et ce n’est qu’ensuite, après une guerre sauvage entre les forces titanesques de la Nuit, que sont apparues les divinités du Jour, avec Zeus et les Olympiens, qui ont mis l’univers en ordre.
Il en va de même pour les arts. Comment l’œuvre naît-elle d’une absence préalable, voire d’une confusion d’expériences humaines souvent malheureuses ? Comment Céline a-t-il pu écrire le Voyage au bout de la nuit à  partir d’un mélange de guerre, de violence et d’abjection qui est sublimé par l’écriture ? La même question se pose pour la danse. Comment le danseur réussit-il, à  partir des gestes et des mouvements du corps humain, à  styliser un rythme et à  imposer un ordre à  ce qui, avant son entrée en scène, était un chaos imprévisible. Tel est le mystère de la création qui, d’un désordre initial, parvient à  établir un ordre en permettant au mouvement d’entailler et de révéler l’espace à  mesure de son déploiement. »

en savoir plus :
[->http://www.pole-arts-sciences-societe.info/]

« Peccata mundi » Une proposition photographique de Claire Artemy

« Peccata mundi » Une proposition photographique de Claire Artemy
du 7 février au 20 avril 2013 dans l’église Saint-Polycarpe

ouverture les mardi et vendredi de 15h à  18h

Claire Artemyz revisite le thème de la Passion. Portant un regard centré sur le détail, dans une sobriété des cadrages et une mise en lumière isolant l’objet photographié, un crucifix, la photographe nous invite, par le nécessaire déchiffrage des images, à  une lenteur propice à  la méditation.
« Voici l’Agneau de Dieu qui enlève le péché du monde » (Jean, 1-29)

La photographe Claire Artemyz a produit la série PECCATA MUNDI qui reprend des images connues de la chrétienté et présentes dans la conscience collective à  travers le monde. L’artiste a voulu aborder le registre religieux sous un angle de vue très précis: montrer ces détails qui évoquent les grands moments de la souffrance du Christ, qui vont de pair avec l’importance hors norme qu’a eue le développement de la foi jusqu’à  aujourd’hui. Claire Artemyz tente ainsi d’éclairer ce que le divin peut nous révéler: cette vibration, où la beauté dégagée de ce crucifix nous évoque bien plus que nous ne pourrons le formuler avec nos propres mots. L’artiste tend souvent à  aller vers l’abstraction, vers le volume, le détail important et non vers un ensemble qui pourrait sembler figé. Claire Artemyz nous invite alors à  découvrir ces formes sacrées pour, peut-être, méditer, admirer et voir ce qui nous est révélé individuellement dans cette richesse spirituelle.
Fabian Fischer
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C’est avec la musique sacrée baroque que j’ai revisité la Crucifixion et que le besoin de développer une série de photographies sur ce thème s’est imposé. J’ai tout de suite pris comme sujet la représentation du Corps de Jésus sur la Croix, contraint et blessé, comme on le voit sur les Crucifix : ce sont en effet des objets qui ont longtemps fait partie de la vie quotidienne et dont l’image, même pour les non pratiquants, est aujourd’hui ancrée dans notre inconscient. Les lectures des écrits de Saints qui portaient les stigmates, tels que François d’Assise, Catherine de Sienne ou encore Brigitte de Suède, ont aussi guidé ma façon de photographier les Blessures Sacrées – les clous dans les mains et les pieds du Sauveur, la blessure à  Son côté d’où s’écoulent les gouttes de Son sang. C’est dans ces Blessures que se montre pleinement l’union du Divin et de la fragilité du vivant soit, comme l’a dit Saint Bonaventure: « l’union du seul Parfait et de l’Immense avec une nature faible ».
Je me suis donc concentrée sur ces Blessures, y appliquant les principaux traits de mon regard photographique : une recherche sur la lumière ainsi que le choix de plans très rapprochés, aboutissant à  des images presque abstraites. C’est dans un second temps, en prenant de la distance, que le sujet en question, le Crucifix, se révèle alors dans sa globalité.

Murmure d’une encre noire

Méditation sur l’altérité par la peintre coréennne In Gang

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du vendredi 15 février au dimanche 31 mars 2012
permanences le samedi de 17 à  18 h 30
le dimanche de 11 h à  12 h 30
Sur rendez vous les vendred
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les 2 premiers week ends In Gang sera présente et va élargir les heures de permanence.
Des visites de groupe sur rendez vous sont possibles.

Renseignements : leschaz@numericable.fr ou 06 63 37 09 41

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Passeur de Lumière Eric Michel chez Le Corbusier

PASSEUR DE LUMIÈRE
ERIC MICHEL CHEZ LE CORBUSIER
Exposition du samedi 9 février au 31 mars 2013

Vernissage vendredi 15 février 18h-21h
en présence de l’artiste

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La lumière est au cœur de l’architecture de Le Corbusier pour qui elle est un matériau, comme le béton, avec laquelle il construit ses bâtiments.
À La Tourette, Le Corbusier et Xenakis mettent en scène la lumière. Aussi c’est tout naturellement qu’est invité au couvent Éric Michel qui travaille depuis de nombreuses années ce matériau. C’est à  faire une expérience, celle de la lumière, que l’artiste nous invite à  travers ses œuvres et ses installations. L’artiste interroge notre rapport au réel, jouant sur la frontière du matériel et de l’immatériel, tel un intermédiaire, un « passeur ».

Pour reprendre l’heureuse formulation de Rébecca François, devant les œuvres d’Éric Michel, la sensation de «toucher du regard » nous envahit. Vient s’ajouter à  cet effet purement physique une émotion, une résonance intérieure. La source lumineuse qui éclaire, qui révèle, devient un sujet en soi et trouve sa puissance magnétique dans le monochrome et les couleurs fluorescentes. Loin de révéler un univers aseptisé, néons et pigments purs, hérités de l’esthétique des années soixante-dix, créent un « bain lumineux » qui confère à  l’espace une dimension tout à  fait autre.
L’artiste déstabilise notre perception et parvient à  créer des « états visuels particuliers » comme disait Donald Judd au sujet de Dan Flavin.
La matérialité de la lumière nous absorbe jusqu’à  nous plonger dans une profonde immersion propice à  la méditation.

Éric Michel expose ses œuvres régulièrement en France et à  l’étranger, notamment à  Tokyo, Rome, Genève, Pékin, Londres et New York. En 2009 il expose au musée d’art contemporain (MAMAC) de Nice et au printemps dernier il participe à  l’exposition Le Néon dans l’art à  La Maison Rouge – Fondation Antoine de Galbert, à  Paris.

du mardi au dimanche de 14h30 à  18h30
Visite guidée sur rendez-vous.
Contact
Frères dominicains
Couvent de La Tournette
69210 Eveux
Tèl : +33 (0)4 72 19 10 90
Fax : +33 (0)4 72 19 10 99
Mail : accueil@couventdelatourette.fr

En savoir plus.
[->http://www.couventdelatourette.fr/IMG/pdf/exposition_eric_michel-2.pdf]

« Dialogue avec l’objet » à  Confluences Polycarpe

jusqu’au 22 décembre 2012, ouverture les jeudi, vendredi et samedi de 15h à  18h

« Dialogue avec l’objet » de Jean-Marc Sohier

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Les objets contiennent selon moi beaucoup de sens. Ils participent au développement de notre capacité de dialogue avec le monde. Cela me semble particulièrement sensible pour le mobilier et les objets de la maison, parce que ceux-ci concernent à  la fois l’utile et l’esthétique, mais aussi parce que nous avons avec eux une relation intime et souvent sensuelle. Il ne s’agit pas seulement du toucher, de la matière bois ou autre, mais aussi de la façon dont ils sont reliés à  notre quotidien.

Que ce soit par la création de meubles, de luminaires, d’objets pour la maison, ou par la photographie de sièges dans un environnement particulier, je suis ému et attiré par les dialogues qui se créent entre l’objet, l’humain, l’environnement.

Non seulement entre l’objet lui-même et son utilisateur, mais aussi entre les personnes elles-mêmes par le truchement de l’objet, parce que celui-ci nous concerne et nous regarde. Lorsque l’objet nous touche particulièrement, il a la capacité de modifier notre regard, notre comportement, notre pensée et nos relations interpersonnelles.

Jean-Marc Sohier

Mise en lumière de St Bonaventure

Mise en lumière par les étudiants de l’ENSATT

Le sanctuaire Saint-Bonaventure accueille pour la deuxième année des réalisations d’étudiants de l’Ensatt ( Ecole nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre). Après la Nativité en ombre proposée en 2011 par deux diplômées en scénographie, ce sont les travaux des étudiants en lumière que nous vous invitons à  découvrir: « Vers Bethléem » Installations d’ombres colorées autour de la Nativité (du 5 décembre au 6 janvier)

A l’heure du numérique et d’une certaine surabondance de l’image, ces installations nourries des travaux de Calder et Boltanski proposent une poésie visuelle de la Nativité née des jeux de la lumière et du fil de fer.
Gilbert Brun

mon curé chez les métalleux

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Nous ne résistons pas à  vous faire partager le lien de Rue 89 lyon, venu au cours de la dernière manifestation : « Le métal des vibrations interdites » dimanche 28 après midi..
Ce fut un régal de découvrir, et de s’initier à  cette forme de musique mal connue.

[->http://www.rue89lyon.fr/2012/11/26/robert-culat-cure-chez-les-metalleux/]

Regards d’artistes sur Pierre Soulages

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A propos de Pierre Soulages et ses noirs lumineux et profonds, l’un des derniers géants de l’art contemporain.
Les arts plastiques, tels qu’en parlent les artistes et les médiateurs culturels à  Saint-Polycarpe : 10 h – 12 h
En ce moment le musée des Beaux-Arts, Palais Saint-Pierre, consacre une importante exposition à  l’artiste Pierre Soulages, en partenariat avec la Villa Médicis.

Cette exposition fait suite à  l’acquisition récente par le musée
de trois œuvres de Pierre Soulages :
Brou de noix sur papier 60,5 x 65,5 cm, 1947
Peinture 202 x 143 cm, 22 novembre 1967
Peinture 181 x 244 cm, 25 février 2009, triptyque,

Ces œuvres acquises pour un montant total de 1,5 millions d’euros ont rejoint les collections du musée au début du mois de mars 2012.
Un médiateur culturel introduira à  l’œuvre de Pierre Soulages et au débat qui fera suite à  l’expression des sentiments et émotions de quatre artistes, présentes à  la dernière biennale d’art sacré actuel 2011) : le souffle : Françoise Ayme-Martin, Sophie Martini, Walburga Puff, Véronique Soriano.
au Musée des Beaux-Arts de 12 h à  14 h, en alternance avec le repas
Visite guidée de l’exposition Pierre Soulages au musée des Beaux-Arts.

Inscriptions :
Maison Diocésaine 6 avenue Adolphe Max Lyon 5ème, ou par courrier à  la même adresse accompagné du réglement après avoir imprimé le bulletin ci-dessous.

Bulletin_d_inscription-4.pdf

possibilité de billetterie sur place

Prix des places : 10 € Tarif réduit : 5 € étudiants et en recherche d’emploi Gratuit pour les enfants

Saint Michel, le combat des anges

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Jusqu’au 6 janvier 2013, le musée d’art religieux propose une exposition consacrée à  l’iconographie de l’archange Michel.
L’occasion de mettre en valeur les représentations de saints et saintes, luttant eux aussi contre le mal, représenté sous les traits monstrueux de dragons, de tarces, de bêtes affreuses…

« Alors, il y eut une bataille dans le ciel : Michel et ses Anges combattirent le Dragon.. Et le Dragon riposta avec ses anges, mais ils eurent le dessous et furent chassés du ciel » (Ap.12,7-8)

Musée ouvert de 10 h à  12 h 30 et de 14 h à  17 h 30

En savoir plus : [->http://www.fourviere.org/fr_FR/saint-michel-le-combat-des-anges-4,140.htm]