La robe dans tous ses états à  Confluences Polycarpe

Robe de fête, robe de deuil, robe de fillette, la robe symbolise la féminité et prend tout son sens pour celle qui s’en revêt . La robe que j’ai peinte n’est pas anodine. Ses couleurs et ses formes vont au-delà  de la séduction dont elle est accusée habituellement ; qu’il s’agisse des robes des épouses de Barbe-Bleue, de la robe de la mariée ou de la robe de l ‘enfant, la robe incarne un moment de vie qui révèle l’intime de celle qui en couvre son corps.

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Exposition de Michelle BONNETAIN à  découvrir

• du jeudi 12 avril au samedi 5 juin 2012

vernissage le samedi 14 avril à  11h30

ouverture les jeudi, vendredi et samedi de 15h à  18h
Confluences Polycarpe
25 rue René Leynaud Lyon 2ème

SILENCE à  la Tourette

Seize jeunes artistes de l’École nationale supérieure des Beaux-arts de Paris sont venus résider plusieurs jours au couvent de la Tourette . Ils ont créé des œuvres qui entrent en résonance avec le bâtiment.
Cette rencontre entre l’architecture et les œuvres qu’elle a suscitées se propose de renouveler notre regard sur le couvent à  travers des approches, des techniques et des supports très différents.

A découvrir jusqu’au 25 mars 2012

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en savoir plus : [->http://www.couventlatourette.com/]

Exposition jusqu’au 25 mars du mardi au dimanche de 14 h 30 à  18 h

Rencontre avec Chantal Fontvieille

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Dimanche 25 mars à  15 heures, le service Arts Cultures et Foi Lyon vous propose une rencontre avec Chantal Fontvieille, artiste plasticienne, historien l’Art et Pierre Lathuillière, Théologien à  la Galerie Françoise Besson 10 rue de Crimée Lyon 1er.

Cette rencontre se déroule dans le cadre de l’exposition « mise en cible » jusqu’au 31 mars… A partir d’Ecce Homo du Caravage, l’artiste revisite l’œuvre en quatorze fragments pour une mise en cible dans la mise en croix.
« En effet, sur le corps même du Christ outragé, bientôt sacrifié et cloué sur la croix, liant ensemble violence et sacré, Chantal Fonvieille prélève et isole la figure spécifique de l’homme en tant que cible.. » Joël Couve

La mise en cible comporte quatorze stations comme la Passion du Christ. .. Si la présentation des stations fait alterner rythmiquement le vertical et l’horizontal, c’est pour conjuguer des régimes de force venus de plans différents, religieux, artistiques, philosophique, existentiel… Joël Couve

La rencontre, une occasion de plus pour découvrir l’exposition de Chantal Fontvieille

en savoir plus : [->http://www.francoisebesson.com/]

Jean Martin, les années expressives au Musée des Beaux-Arts

Une Exposition-dossier, du 3 mars au 4 juin 2012

au Musée des Beaux Arts à  Lyon…

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Le choix d’œuvres du peintre lyonnais Jean Martin, tableaux et dessins, réalisées entre les deux guerres, sous l’occupation permet de découvrir le parcours d’un autodidacte fortement marqué par les primitifs allemands et expressionnisme belge contemporain.

Ses figures réalistes et solides peintes dans une pâte émaillée illustrent les débats qui animèrent le monde de l’art autour de la question du réalisme dans les années trente. Parallèlement, une suite de nus féminins dessinés en 1940 pour la revue L’Arbalète témoigne des qualités graphiques de celui qui fut à  Lyon l’ami de Marc Barbezat et de Marcel Michaud.

en savoir plus : [->http://www.mba-lyon.fr/mba/sections/fr/expositions-musee/actualite/actualites-expositio/mba/sections/fr/expositions-musee/exposition-dossier/jean-martin]

Petite biographie.
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Fils d’ouvrier, Jean Martin est né à  Lyon, dans le quartier industriel de Vaise, en 1911. Artiste autodidacte, il s’initie à  la peinture auprès du peintre Lucien Féchant, sociétaire du salon du Sud-Est, et se lie à  ses débuts avec le peintre Jean Couty et le sculpteur Georges Salendre, avec lesquels il expose à  partir de 1935 à  la galerie du décorateur André Sornay, rue Paul Chenavard, non loin du musée des Beaux-Arts.
Dès 1933, il participe au salon d’Automne où son envoi est salué par le poète, critique et galeriste Marcel Michaud, puis expose annuellement au salon du Sud-Est à  partir de l’année suivante. Durant les années 1930, il développe une peinture réaliste et sociale marquée par les peintres du 16e siècle allemand, particulièrement Grà¼newald, ainsi qu’en témoigne Le Crucifié (1937).
Une autre ascendance revendiquée par l’artiste est celle de l’expressionnisme allemand contemporain sous ses formes les plus diverses. Ainsi, Les Aveugles sont-ils associés par la critique au ballet politique La Table verte (1932), création du chorégraphe allemand Kurt Jooss, joué à  Lyon au théâtre des Célestins en mai 1937 ; ou encore, à  l’atmosphère inquiétante du film Nosferatu de Friedrich Wilhelm Murnau (1922). Jean Martin se révèle tout aussi attentif à  l’expressionnisme flamand contemporain du groupe de Laethem-Saint-Martin, découvert au musée de Grenoble à  la faveur de l’exposition L’Art belge, organisée par Andry-Farcy en 1927.
En 1933, sa rencontre avec Marcel Michaud est déterminante et marque le début d’une profonde amitié.
Au salon des Indépendants de 1938, le critique Henri Héraut, fondateur du groupe Forces Nouvelles, retient le tableau Les Aveugles pour la seconde exposition du groupe Nouvelle Génération qu’il organise à  Paris à  la galerie Billiet-Vorms, en marge des débats autour de la querelle du réalisme, et à  laquelle contribuent les peintres Georges Rohner, Robert Humblot, Francis Gruber ou encore le sculpteur Germaine Richier.
Sous l’Occupation, Martin expose régulièrement à  Lyon à  la galerie Folklore, puis à  Marseille à  la galerie Jouvène, alors animée par le marchand parisien Jacques Tedesco. Dans ces années-là , Jean Martin parvient à  une maîtrise picturale d’une rare expressivité plastique, qui suscite l’admiration de nombreux critiques.
En 1940, il collabore aux côtés de l’éditeur Marc Barbezat à  la naissance de la revue L’Arbalète, dont il dessine la première de couverture et dans laquelle seront publiés les premiers textes de Jean Genet, de Jean Wahl ou de René Tavernier.
En 1943, Barbezat crée, à  la suite de la revue, les Éditions de L’Arbalète dont la première publication est le recueil Dessins par Jean Martin, suivi en 1945 de la première édition de Chants secrets de Genet.
Entre 1945 et 1947, Martin expose annuellement à  Paris chez Katia Granoff, rencontrée lors de son exil lyonnais.
Installé à  Paris à  partir de 1946, il produit de nombreux décors et costumes pour le théâtre, notamment pour les compagnies de Raymond Hermentier, de Jean-Marie Serreau et de Louis Jouvet. En 1952, il fonde avec son épouse, Rosette, la galerie Art & Tradition Chrétienne, rue Saint-Sulpice, participant activement au renouveau de l’art sacré, auquel la Reconstruction donnera une forte impulsion. Dès lors, l’artiste voue sa prédilection à  l’intemporalité médiévale, créant des images fortement empreintes d’idéalisme roman et byzantin, à  la faveur de la redécouverte de la peinture à  la tempera auprès de maîtres orientaux.
Jean-Christophe Stuccilli

Christophe Guery : « Au fil de l’eau » à  Confluences Polycarpe

« La photo est pour moi histoire d’émotions. Celles qui me traversent en permanence, celles qui s’incrustent dans ma tête et tournent en mots (en maux aussi), en lumières
Le contre-jour me va bien aussi.
Il me faut de l’espace, du silence, pour voir, sentir, ressentir et cet espace, ce silence irriguent ma photo.

De l’eau, j’aime l’immensité, l’infini du regard devant l’océan, les eaux qui jaillissent, le temps suspendu et toujours renouvelé, le silence bruyant, le vide habité. »
Christophe GUERY

Confluence Polycarpe 25 rue René Leynaud Lyon 1er

du jeudi 1er mars au samedi 24 mars 2012

vernissage le jeudi 1er mars à  18 h

ouverture les jeudi, vendredi et samedi de 15h à  18

Neuvième biennale d’art sacré actuel (BASA 2013)

La biennale d’art sacré actuel (art contemporain)

L‘association Confluences-Polycarpe, avec le partenariat du service d’Eglise arts, cultures et foi – diocèse de Lyon, organise la neuvième Biennale d’Art Sacré Actuel qui aura lieu du

26 septembre au 21 décembre 2013.

Le thème de cette neuvième biennale est : Fragilité !

Fragile, dans un joyeux désir, je prends le chemin vers l’autre (Autre).
Demander le cahier des charges à  Confluences-Polycarpe.
25 rue René Leynaud, 69001 Lyon

Peintures, sculptures, photographies, installations y sont attendues ; soit toutes œuvres émanant d’artistes vivants.
Les vidéos et expressions virtuelles ne sont pas exclues, mais exigent un matériel que nous ne pouvons pas fournir. Ce dernier est à  la charge du créateur.

Le thème :

De tous les thèmes proposés par les artistes à  la rencontre bilan de la session 2011, pour la biennale d’art sacré actuel 2013 nous avons retenu : Fragilité !.

« Nés fragiles, nous terminons notre vie dans la fragilité et le milieu de nos existences est inévitablement parsemé d’expériences de fragilisations que nous cherchons à  éviter sans jamais parvenir à  y échapper tout à  fait. Tout semble indiquer que notre condition humaine nous inscrit dans une tension permanente entre une robustesse jamais acquise et une fragilité toujours latente. Dans une société prônant avant tout les idées de contrôle, de perfection, d’indépendance, quel sens donner à  la fragilité humaine ? Peut-on l’appréhender comme une richesse, quelque chose qui aide à  grandir ? Fragilité implicitement jugée dangereuse, interdite, par un monde qui rêve aussi de répétition infaillible et de robotisation. Mais fragilité qui ouvre, parfois, des failles libératrices insoupçonnées ».
Cathocité, 23/03/2011

Kénose du Christ ; kénose de Dieu face au désir de performance.
« Comment penser le rapport entre la transcendance et l’immanence ? Un verset des Psaumes semble d’abord écarter ce rapport : « Les cieux sont à  l’Eternel, mais la terre, Il l’a octroyée aux fils de l’homme ». Le thème de la descente du divin est largement développé dans la théologie sous le nom de « kénose » ou humilité de Dieu consentant, selon Emmanuel Lévinas, à  descendre jusqu’aux conditions serviles et les plus fragiles de l’humain. Souvent en effet, dans la Bible hébraïque, Dieu est présent et sensible aux souffrances des hommes. Il est nommé dans les Psaumes : « Celui qui guérit les coeurs brisés et panse leurs blessures ». S’Il réside dans les hauteurs, Il « abaisse ses regards » et porte son souci vers la femme stérile plus désespérée que l’indigent. De nombreux textes bibliques et commentaires associent la puissance de Dieu à  son humilité, sa proximité à  la souffrance : « Il est aussi dans les coeurs contrits et humbles, pour ranimer le coeur des affligés » dit Isaïe ».
Plaidoyer pour un droit à  la fragilité, Monique Lise Cohen d’après Catherine Chalier et Emmanuel Lévinas, 24/01/2009.

« Où donc notre fragilité peut-elle trouver repos et sécurité, sinon dans les plaies du Sauveur ? Je m’y sens d’autant plus protégé que son salut est puissant. L’univers chancelle, le corps pèse de tout son poids, le diable tend des pièges ; je ne tombe pas, car je suis campé sur un roc solide. » St Bernard

Candidature
Tous les artistes souhaitant exposer doivent envoyer, avant le 30 septembre 2012 un ensemble d’éléments témoignant de leurs œuvres.
Chaque candidature doit donc comprendre :
– un CV d’artiste
– des photos montrant le travail de l’artiste
– des coupures de presse à  propos des expositions collectives et personnelles
– un texte expliquant comment l’artiste entend traiter le thème : Fragilité ! Fragile, dans un joyeux désir, je prends le chemin vers l’autre (Autre).

La commission se prononcera au cours du mois de décembre 2012. Le candidat aura alors jusqu’en juillet 2013 pour travailler son thème, date à  laquelle sera composé le catalogue de la future exposition.

Plus d’information dans le « cahier des charges » à  demander à  Confluences.
Confluences-Polycarpe
25 rue René Leynaud
69001 Lyon

[->http://www.confluences-polycarpe.org/biennale.html]

Confluences.beau@orange.fr

Colloque Chrétiens et pic de pétrole, novembre 2011

Une tentative de résumé conclusif.

A chaque avancée de ce colloque, Objection de croissance et christianisme, convergences et divergences, j’ai ressenti l’importance d’un christianisme comme style. Nous nous rappelons le titre de l’ouvrage de Christoph Théobald : le christianisme comme style, édition du Cerf.
Plus que d’affirmer des vérités évidentes, s’il en est, nous cheminons et adaptons notre comportement, notre art de vivre, nos modes de vie à  la réalité du message évangélique perçue dans une contexte écologique, économique, politique déterminé.

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Le groupe chrétiens et pic de pétrole dans sa recherche de compréhension des diverses formes de crise ne se limite pas à  une reconnaissance de l’importance des équilibres écologiques. Prenant de la hauteur par rapport à  l’écologie, il considère et analyse les visées

  libérales : économie, politique ; les axes du libéralisme qui s’expriment dans la vie publique

  libertaires : philosophie, psychologie ; les axes du libertarianisme qui s’expriment dans la vie privée

 
Reconnaître les limites
En tous ces domaines, il convient de reconnaître l’existence incontournable des limites propres à  la terre et propres à  l’homme. Tout est limité ! Et affirmer que la force humaine est apte à  dépasser, ou surmonter toute limite est une grave illusion. « Un homme, ça s’empêche » (A. Camus).
La reconnaissance des inévitables (et salutaires) limites ne s’expérimente pas seulement au plan individuel. Il y a aussi une dimension, sociale (sociétale), universelle ; soit, politique.

Rechercher le plus d’objectivité possible

La quête de chrétiens et pic de pétrole se veut universitaire dans le sens où elle souhaite atteindre le plus d’objectivité possible. Il n’y a pas le désir de faire compliqué, mais la volonté de s’enraciner dans une réflexion qui donne des bases solides, objectives, scientifiques. En ce lieu, le débat est inévitable car les avis des scientifiques divergent.

Viser un engagement à  long terme
Nous constatons qu’il ne suffit pas de s’indigner. L’indignation peut provoquer la révolte. Celle-ci ne dure qu’un temps ! Plus que des révoltés, il faut des engagés. En terme politique nous dirions que l’objectif de l’action réfléchie est la révolution. En terme chrétien, il convient d’employer le mot de « conversion » (metanoia), changer de chemin en un retournement radical.

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Ethique de proposition
Etre révolté peut engager dans une attitude de résistance. Et il n’est déjà  pas mal de résister. Pourtant, tout au long des débats, une attitude plus positive s’est dégagée. Au lieu d’être seulement contre, ce qui est parfois indispensable -résister !- est apparue une attitude de proposition. Disons le ainsi : alors que nous résistons à  des modes de vie néfastes, nous prenons les moyens de vivre autrement tant au niveau individuel qu’au niveau social, politique. L’annonce de 1986 : pour de nouveaux modes de vie, fut, implicitement, plusieurs fois évoqués au cours des ces journées.

Morale du don gratuit
La conclusion de ce regard vers un monde autre réside dans le refus de toute forme d’égoïsme (objet de la conversion). Il a été exprimé avec les mots de don gratuit de soi (gratitude). Je ressens cela comme un rappel de l’appel de tous à  la sainteté, à  la sobriété, à  la vie simple selon l’Evangile. Les psaumes en parlent avec le mot anawim.

BASA 2011 : un livre d’or riche…

La 8ème Biennale d’Art Sacré Actuel (BASA) a fermé ses porte le 17 décembre dernier… Un bilan positif d’autant que cette dernière était relayée dans 3 autres lieux et ce pour la première fois…

Il semble important de faire l’écho du livre d’or des visiteurs…

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LIVRE D’OR de la BIENNALE

Pour cette BASA 2011, le livre d’or était une installation de Daniel interpellant l’Eglise à  propos des « Sans Papiers ». Beaucoup de visiteurs y ont laissé leurs impressions :
L’Esprit créateur souffle même pour ce livre d’or suspendu avec tant d’humour et de zèle.

Tous les mots suspendus sont très admiratifs sauf un :

Je trouve cette exposition particulièrement laide dans l’ensemble et en plus ça n’a rien d’art sacré !
L’espace Saint Polycarpe a été pour beaucoup une belle découverte :
Moment magique dans un lieu magique !
Un labyrinthe, des couleurs, de l’inattendu, c’est très bien !
On trouve des appréciations de caractère général comme :
C’est vraiment magnifique !
Une beauté inestimable.
Expo intéressante, éclectique et régénératrice.
Exposition d’un très bon niveau avec des œuvres bien mises en valeur.
Beaux reflets de l’Ecriture contextualisée dans notre temps.
L’art sacré n’a pas d’âge !
Elles sont nombreuses les portes vers l’infini !
Nous avons eu beaucoup de plaisir, les toiles sont très différentes et certaines nous touchent particulièrement.
Justement, certains visiteurs (amis ?) ont ciblé leurs œuvres ou artistes favoris :
En contemplant l’œuvre de Michèle Radix on se laisse envahir par l’espérance et le Semeur d’Emmanuelle Grand donne à  penser.
L’œuvre de Bruno Gratas réveille en moi l’actualité et la permanence de Jésus-Christ.
Bravo pour les compositions florales !
Le thème du souffle a beaucoup retenu l’attention, y compris avec humour :
A couper le souffle !
Une expo qui surprend, décoiffe comme le souffle.
J’ai été inspirée et même « soufflée » !
Très grande idée que ce thème du souffle ! la représentation en est multiple, on sent une grande liberté d’expression et une ouverture d’esprit.
Vie, souffle, transcendance, l’art nous emmène toujours ailleurs.
Que toutes ces œuvres aident l’Eglise et nous tous à  retrouver le souffle créateur originel !
Un bel élan dans toutes ces œuvres, souffle de vie, souffle d’amour.
On sort avec un autre souffle qui nous pousse vers un ailleurs.
Le souffle intense, une évidence !
La variété de la représentation du souffle est étonnante et très intéressante, allant de la douceur à  la violence
Le souffle est un vrai moteur.
Il faut du souffle (=courage) pour organiser une expo comme celle-ci dans une église car par les temps qui courent, des esprits primitifs voudraient couper le beau et l’expression humaine du sacré.
Le thème et les œuvres ont même amené certains visiteurs à  la prière, telle cette dame Madeleine qui nous a demandé d’écrire pour elle :
Exposition qui emplit de sérénité, de calme et reflète la quête du visage de Dieu que l’on cherche toujours et que l’on ne peut atteindre, enfermer ; souffle qui met en mouvement vers une autre vie
Ou encore :
Le souffle de l’Esprit, nous l’avons redemandé en ce lieu où nos enfants ont été baptisés.
Merci pour cette expérience de prière que vous m’avez fait vivre.
Ce souffle du beau issu de l’homme, va jusqu’au ciel, au-dessus de tout et certainement au cœur de Dieu.
Plusieurs remercient les artistes, les organisateurs, la paroisse
Merci aux artistes pour ces réalisations pleines de sens, et à  ce guide passionné d’art.
Merci pour ce moment où le temps s’est arrêté et où le souffle nous habite.
Merci encore pour cette 8ème Biennale où les artistes arrivent, avec des couleurs, formes et matières à  exprimer l’invisible.
Jean BERNARD

Regard d’artiste contemporain sur l’effacement de la personne

Conférence suivie d’un débat par Marc CHAUVEAU, dominicain, historien de l’art
Mardi 17 janvier 2012 à  19 h 30 à  l’Agora Tête d’Or..

Dans une société où la représentation de l’homme est omniprésente, l’artiste jean-Marc CERINO s’attache à  repérer des groupes sociaux ou des hommes qui subissent le poids de l’exclusion et qui peu à  peu, s’effacent du champ de la représentation sociale et deviennent des invisibles…

Participation aux frais : 5 € gratuit pour les étudiants…

Aller plus loin : [->www.agoratetedor.com]
ou 04 78 52 22 54