La fleur de l’âge, à  pas de géants vers l’éternité

Crypte de la Basilique de Fourvière, place de Fourvière, Lyon 5e

du 8 avril au 11 mai 2015.

Exposition de 50 photographies de très grand format, conçue par « Ars Latina », sur le thème « La fleur de l’âge, à  pas de géants vers l’éternité : jeunes témoins et jeunes martyrs de vingt siècles de christianisme ».

Ces photos représentent de jeunes figures emblématiques qui n’ont pas dépassé l’âge de 33 ans, issues de 30 pays et de 5 continents. Il s’agit d’un parcours de deux millénaires de christianisme.

L’exposition est structurée en 3 parties :

  • Le printemps de l’amour : des premiers chrétiens à  la renaissance
  • Le temps de l’universalité : de la Renaissance à  la fin du XIXème siècle
  • Le temps de la miséricorde : à  partir de la fin du XIXème siècle

Après la Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre, la Basilique
Notre-Dame-de-Fourvière accueille du 9 avril au 10 mai 2015 LA
FLEUR DE L’à‚GE à  Lyon. L’exposition est ainsi offerte aux
promeneurs et pèlerins de nationalités différentes, parcourant ce
haut lieu de la chrétienté. Construite à  partir de 1872 par
l’architecte Pierre Bossan, elle est le fruit d’un vœu du peuple de Lyon à  l’occasion de la guerre de 1870.

Présenter cette exposition, en avant – première à  Lyon, théâtre des premières persécutions de
chrétiens en Gaule au II è siècle, est symbolique. En effet, depuis la plus haute Antiquité, la
colline de Fourvière est un haut lieu de la vie spirituelle de Lyon. C’est à  Fourvière que les
premiers chrétiens exprimèrent leur foi, se plaçant dès l’origine sous la protection de Marie.
Quarante chrétiens, dont Saint Pothin, premier évêque, et sainte Blandine furent martyrisés
lors de la grande persécution de 177, sous l’empereur Marc-Aurèle.

La ville de Lyon s’honore d’avoir donné à  la chrétienté au début du III ème siècle, un Père de
l’Eglise, saint Irénée, qui fut disciple dans sa jeunesse de saint Polycarpe de Smyrne. C’est là 
aussi que la vénérable Pauline Marie Jaricot (1799-1862) fonda à  l’âge de 23 ans l’Œuvre de la
Propagation de la Foi. C’est également dans le diocèse de Lyon que naquit Jean-Pierre Néel,
missionnaire des Missions Etrangères de Paris, mort à  29 ans. Il fait partie des 120 martyrs de
Chine canonisés par Jean-Paul II en 2000.

L’exposition LA FLEUR DE l’à‚GE poursuit ainsi son itinérance en France et en Europe, dans
les grands sanctuaires et dans les lieux de rassemblement de la jeunesse ( JMJ, FRAT, Scouts… )
sans oublier les écoles de l’enseignement catholique en France.

« Ars Latina » organise cette exposition grâce au concours des Œuvres Pontificales Missionnaires,

de la Compagnie des Filles de la Charité, et avec le soutien de la Mutuelle Saint-Christophe
Assurances, et du Musée de Montmartre.

POUR TOUTE INFORMATION

XAVIER JOURDAN, Directeur de la Communication des Œuvres Pontificales Missionnaires

04 72 56 99 65 – 06 64 53 41 72

Contact : 06 81 01 39 74

[->arslatina@gmail.com ]

EXPOSITION Alfred Manessier

UNE INVITATION à  vous rendre au MUSÉE d’ART RELIGIEUX de FOURVIERE, pour voir l’exposition de deux séries de Lithographies d’Alfred Manessier,(1948,1978) inspirées par la fête de Pâques :

QUELQUES NOTES SUR ALFRED MANESSIER, Pà‚QUES, ET LA LUMIÈRE.

Alfred Manessier (1911-1993) s’inscrit dans l’histoire de la peinture par son appartenance à  l’ « Envolée Lyrique » des années 50, qui caractérise la peinture non-figurative, informelle, abstraction « chaude », qui caractérise le mouvement auquel il appartient avec à  l’Ecole de Bissière, d’autres grands peintres : Le Moal, Bazaine, Ubac, Estéve A la rigueur de l’abstraction géométrique (abstraction « froide ») portée par exemple par Piet Mondrian, il exprime son « être au monde », dont il tente de saisir le surgissement informel, non pas pour le maitriser, (comme les cubistes par exemple), pour le reproduire (peinture figurative), mais pour, dans un va et vient entre extérieur et intérieur, en saisir les correspondances intimes, les rythmes et la musique, comme le compositeur avec des notes ou le poète avec des mots.

Le jeu des couleurs traversées par la Lumière, qui émerge du noir qui en surplomb de ses compositions, exprime ainsi l’Espérance, face à  un monde où d’autres (poètes, artistes plasticiens, philosophes), au lendemain de la guerre en sont restés à  l’expérience d’un univers dépourvu de sens, les assigne au néant et au choix de l’absurde et de la dérision.

La Passion du Christ et la Pâques permettent à  Manessier de retrouver les traces de ce chemin initiatique qui va des ténèbres à  la Lumière.

Cela n’est possible qu’après, le bonheur d’une enfance dans la Baie de Somme, (où il perçoit la circulation de la Lumière, qui conditionne l’ouverture au monde de l’Invisible que la peinture rendra Visible), une expérience fondatrice de la Foi à  la Trappe à  22ans, et un travail acharné tout au long de sa vie pour nourrir une palette exceptionnelle.

Et pour revenir à  Pâques et vous engager à  voir cette exposition :

1943, Soligny, avec Camille Bourniquel, à  la Trappe, il assiste de la tribune au Salve Regina, dans l’obscurité totale de la chapelle trouée par la lumière du Saint Sacrement. « Tu ne me chercherais pas si tu ne m’avais pas trouvé »,

A mettre en résonance avec Pâques, passage des ténèbres à  la lumière, ce qu’exprime ce poème de SAINT JEAN DE LA CROIX, « La nuit obscure »

Ah, je sais la fontaine qui coule et bruit,

Encore que ce soit de nuit.

Son origine ne la sais, n’en a point,

Mais sais que d’elle toute origine vient,

Encore que ce soit de nuit.

Je sais qu’il ne peut être chose si belle

Et que les cieux et la terre boivent en elle,

Encore que ce soit de nuit.

Sa clarté au grand jamais n’est obscurcie,

Et sais d’elle toute lumière sortie,

Encore que ce soit de nuit.

Je sais tant abondants être ses courants,

Qu’enfers, cieux et peuples vont irriguant,

Encore que ce soit de nuit.

Bien sais qu’en elle on ne saurait trouver pied,

Et que nul ne pourrait la passer à  gué,

Encore que ce soit de nuit.

Or le courant qui naît de cette fontaine

Bien sais qu’il est aussi puissant qu’elle entraine

Encore que ce soit de nuit.

Là , elle appelle les créatures

Qui de cette eau s’abreuvent, encore qu’à  l’obscur,

Parce que c’est bien la nuit.

ENTRETIENS d’Alfred Manessier AVEC JEAN CLAY – 1962

Je commence à  peindre quand je ressens une coïncidence très étroite entre le spectacle que j’ai sous les yeux et mon état intérieur. J’oscille continuellement du monde intérieur au monde extérieur. Je dois m’épauler au réel, lire dans la lumière, les chants, les arbres, les pierres, cette Joie, cet amour qui m’habitent. Du même coup, le monde prend son sens. Puisqu’il y a harmonie entre l’interne et l’externe, c’est la preuve que des lois nous dépassent et nous englobent.

Je guette, j’attends à  l’affût comme un chasseur Je mets un peu de peinture ici ou bien là  je tâtonne, je cherche des coïncidences des rapports entre les formes et les couleurs et puis, brusquement quelque chose se lève devant moi je le sens très fort le dialogue s’est noué je n’ai plus qu’à  suivre c’est tellement rapide Alors la toile commence à  vivre On se parle je ne suis plus seul. Je suis dans ma vérité de peinture Parfois vous perdez la piste C’est cela, on commence à  souffrir. Cette liberté qu’on avait acquise, cette aisance, cette course en avant, çà  s’épuise. L’ouverture est devenue impasse. Vous êtes dans un piège. Angoisse : plusieurs fois dans ma vie, je me suis dit : c’est fini. Spirituellement, l’œuvre d’un artiste se développe sur toute une existence, comme une plante.

Je suis là , Je piétine, et puis, j’ai un choc, un paysage, des fleurs, une pierre que j’ai ramassé, et qui coïncide en moi avec quelque chose, et c’est reparti.

C’est chaque fois pareil, chaque toile est une mort et une résurrection.

Pâques, coïncide au printemps, avec la renaissance de la terre, un sentiment d’exaltation religieuse trouve sa correspondance dans le spectacle verdoyant de la nature qui s’éveille. Qui ressuscite. VOILA LE NŒUD DE MA PEINTURE.

Jusque sur la Croix, l’angoisse du Christ n’a pas cessé. La Nuit des Oliviers est une nuit d’angoisse. « Et sa sueur devint comme du sang qui tombait jusqu’à  terre »

Le christianisme a donné sens à  cette angoisse.
Je veux garder en moi une tension, car je veux exprimer à  la fois la frénésie de mon siècle et la lumière d’espérance dont je me sais porteur.

1949-1978 : C’est une symphonie que j’ai voulu écrire ici, la SYMPHONIE DE Pà‚QUES, avec la vie, la mort, la résurrection, la joie de Pâques.

ALLELUIAH, les derniers mots d’Abbeville.

Hugues Rousset

Exposition jusqu’au 14 juin.

(à  droite de la basilique) 8, place de Fourvière

Contact visite : 04 78 25 86 19

l’Espace Saint Ignace,

Trois événements proches en deux lieux et un colloque

• Jeudi 29 janvier – 18h30 à  Saint-Marc, 10 rue Sainte-Hélène (Lyon 2e)

«Penser l’humain au temps des technosciences » par Thierry MAGNIN, Recteur de l’Université Catholique de Lyon

Conférence organisée par l’association des anciens élèves de St Joseph/St Marc, 10 rue Ste Hélène

Plus d’informations >>>
[->http://www.centresaintmarc.org/actualites/conference-penser-lhumain-au-temps-des-technosciences]


• Mardi 3 février – 19h15 / 21h15 à  l’Espace Saint Ignace, 20 rue Sala (Lyon 2e)

Mardi d’éthique publique – « L’Islam en France »

M. Fahrad KHOSROKHAVAR, Sociologue, directeur d’études à  l’EHESS (École des Hautes Études en Sciences Sociales), spécialiste de l’Islam, vient de publier Radicalisation aux éditions de la Maison des Sciences de l’homme.

M. Jean-Luc POUTHIER, Historien, professeur à  l’Institut d’Etudes Politiques à  Paris (Sciences Po), fondateur du Centre d’Études du Fait Religieux Contemporain (Cefrelco).

Plus d’informations >>> [->http://famille-ignatienne-lyon.fr/2015/01/16/mardi-3-fevrier-19h15-21h/6815]


• Samedi 14 février – 9h30 / 11h30 à  l’Espace Saint Ignace, 20 rue Sala (Lyon 2e)

Samedi d’Etudes La guerre moderne peut-elle être juste ?
à  partir du Hors-Série des Études : La guerre, controverses éthiques et spirituelles 1914-2014.

Avec M. Jean-Dominique DURAND, Professeur des Universités, Adjoint au Maire de Lyon (Patrimoine, Mémoire, Anciens combattants)

Plus d’informations >>> [->http://famille-ignatienne-lyon.fr/2014/12/17/samedi-14-fevrier-9h30-11h30/6788]


• Jeudi 12 mars – 18h30 à  l’ECCLY, 49 Montée Saint-Barthélemy (Lyon 5e)

Dans le cadre du Colloque des 12 et 13 mars ouvert au public :

« PASSION DU CHRIST – DESCENTE AUX ENFERS »

organisé par la Faculté de Théologie et Sources Chrétiennes

« Conférences publiques à  deux voix sur
La Passion du Christ d’après le récit des Martyrs de Lyon
»
– «Les raisons de l’hostilité envers les chrétiens »

François RICHARD, Université de Lorraine, Nancy:

 Comment les chrétiens ont-ils interprété et vécu leur martyre ?

Bernard MEUNIER, Directeur des Sources Chrétiennes (CNRS-HiSoMA), Lyon

Plus d’informations >>> [->http://www.sourceschretiennes.mom.fr/recherche/colloque/colloque-passion-christ-et-descente-aux-enfers-jeu-12032015-0000]


CONTACT : Dominique Gonnet sj. [->famille.ignatienne.lyon@gmail.com ]

Actualité du livre

ESPACE SAINT IGNACE – 20 rue Sala 69002 Lyon (Métro Bellecour)

Pierre GIBERTsj, présentera :

· Emmanuel CARRERE : «Le Royaume »

· Alexis JENNI : «Son visage et le tien »

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PROGRAMME – ESPACE SAINT IGNACE

«Les Beatitudes »
3 mercredis (19h30-21h30), les 5, 12 & 19 novembre
à  l’Espace Saint Ignace, 20 rue Sala, Lyon 2° (Métro Bellecour)

«Y-a-t-il une spiritualité jésuite (XVIe-XXIe siècles) ? »Jeudi 23 octobre 10h-17h30 : Colloque: (message Saint Ignace de Loyola) – A LA BIBLIOTHÈQUE MUNICIPALE DE LA PART-DIEU

http://www.bm-lyon.fr/spip.php?page=agenda_date_id&source=&date_id=356

Pour avoir le programme 2014-2015 de l’Espace Saint Ignace, cliquez sur ce lien:
http://famille-ignatienne-lyon.fr/wp-content/uploads/2014/05/Programme-ESI-2014-2015.pdf

CONTACT : Dominique Gonnet, s.j. -06 15 11 12 36
Tel.: 04 72 77 73 53 (laisser sonner) –
20 rue Sala, F-69002 LYON

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LE BLOG CINEMA – « Hippocrate »

Hippocrate un film de Thomas Lilti (2014) 1H42′.

avec Vincent Lacoste, Jacques Gamblin, Reda Kateb, Marianne Denicourt.

Benjamin effectue son stage d’interne dans un hôpital de la région parisienne, en médecine interne, dans le service que son père dirige. Mais il va très vite déchanter. Non, la présence de son géniteur plutôt taciturne ne facilitera en rien son apprentissage.
Très vite, il se heurte à  la réalité quotidienne des urgences : le malade chronique, SDF, que l’on revoit régulièrement car il ne se soigne plus et qui décèdera provoquant les premières interrogations de Benjamin qui le suivait. Autre cas : une vieille dame, victime d’une chute et qu’on s’acharne à  remettre sur pieds alors que l’on sait qu’elle ne remarchera plus..
Abdel, un médecin algérien FFI (faisant fonction d’interne) a pris Benjamin en amitié et essaie de lui ouvrir les yeux sur certaines absurdités voire certains manques graves de la médecine : pourquoi sonder cette vieille femme, la ranimer puisqu’elle-même a demandé à  ne pas être prolongée si rien ne peut plus être tenté ? Comment accepter de couvrir un autre médecin en sachant qu’il a omis de faire un examen, faute qui s’est avérée dramatique pour le malade ?

On le voit : des sujets graves qui peu à  peu deviennent un cas de conscience pour tout le service. Benjamin va parcourir un vrai chemin initiatique sous l’aile bienveillante d’Abdel. Et ce métier qu’il pensait ne pas pouvoir exercer devant tant de difficultés, il l’adoptera finalement après la confrontation avec la mort, la douleur physique des patients, le chagrin des familles, l’hostilité de la direction.

Tout est criant de vérité dans Hippocrate : depuis la vétusté du service (c’est l’hôpital de Garches qui est filmé) jusqu’aux interrogations de Benjamin en passant par les plaisanteries de carabins, la dureté économique du secteur médical, les controverses éthiques, le sens de l’engagement de la plupart des médecins du service.
Le jeune Vincent Lacoste vu dans Les Beaux gosses montre un visage juvénile qui peu à  peu s’affirme et perd de son égoïsme. Reda Kateb (Abdel) porte le film avec sa droiture et sa révolte.
Marianne Denicourt, l’adjointe du patron, d’abord intransigeante et butée finit par s’ouvrir à  une forme de médecine qui respecte davantage la personne
L’humain est au cœur du métier de médecin, il est parfois oublié : Hippocrate, film grave et juste nous le rappelle avec brio. Il est tout à  l’honneur du jeune réalisateur qui fut lui-même médecin.

de Marie-Noëlle Gougeon

Stage pratique Iconographie

Du 23 au 31 octobre

Cure de Chasselay

L’atelier est ouvert à  tous, dans le respect de chaque démarche, que l’on soit désireux d’approfondir sa vie spirituelle ou simplement de s’initier à  la technique de la tempera. Il est préférable cependant d’avoir quelques notions de dessin. Pour permettre un réel suivi et une vie d’équipe à  la fois, le nombre d’élèves sera limité à  10-12.

cours : du 23 au 31 oct. 2014, excepté le dimanche 26.

Horaire de chaque Journée : 9h30-13 h ; 14-17 h.

Il est bon de prévoir un repas froid pour le déjeuner.

Coût de la session : entre 15 et 20 euros par journée, selon les
possibilités. Que cela ne soit une gêne pour personne.

programme :

Premier jour :
Le choix du modèle ou du sujet
Le dessin et son report sur la planche apprêtée et enduite
La pose de la feuille d’or ou du fond
Apports sur les « canons » (règles) iconographiques et la
technique de la tempera

Jours suivants :
Le « montage » des couleurs selon la technique traditionnelle
de la peinture à  l’œuf (la tempera), jusqu’à  la peinture de la
carnation

Derniers jours
Les finitions et l’apposition du nom (pour l’iconographie)
La préparation des supports (apprêt, levkas)

Lieu : cure de Chasselay

Transports en commun : TER gare St-Germain au Mont d’Or

TCL : Ligne 21 : Chasselay – Lyon ou

Ligne 61 : Gare de Vaise – Champagne Centre – Porte de Lyon – Dardilly les Longes – Lissieu Montluzin – Chasselay – Saint Germain Gare ou encore Les Cars du Rhône – N° Vert : 0 800 869 869 – transports.rhone.fr
(prévenez-moi si je dois venir vous chercher).

Matériel demandé :
une blouse ou un tablier. La planche à  peindre, les pinceaux pour aquarelle, les pigments, les feuilles d’or, les modèles … sont fournis pour le stage. On peut, bien sûr, venir a es propres pinceaux.

Inscriptions et renseignements : P. Michel Raquet

Par téléphone, avant le 13 avril, au 04 37 50 39 27

Par courrier : 115 rue Belle-Sise 69380 Chasselay

Par E.mail : mrgraphicon@wanadoo.fr

un art pour rendre présent l’invisible

L’ICONE

Qui n’a pas une icône chez lui aujourd’hui ? Ce succès de l’icône qui date d’une trentaine d’années occulte bien souvent un usage bien peut « orthodoxe » qu’on fait d’elle. Son symbolisme, sa dimension théologique et liturgique sont méconnus voire détournés par un intellectualisme ou un piétisme tout occidental Or qu’est-ce qu’une icône ? Quel est son « lieu de vie » naturel ? Comment peut-elle nous aide-t-elle à  approfondir notre foi, avec toute la gratitude que nous devons à  nos frères d ‘Orient qui nous ont transmis cet art sacré ?

1 : l’image chrétienne au cours des siècles
2 : théologie de l’icône
3 : canons et symboles
4 : les icônes du Pantocrator
5 : les icônes de la Mère de Dieu
6 : un aperçu des techniques de l’art iconographique

Père Michel RAQUET

SEANCES pour 2014-2015
6 lundis 15-17h

les : 12 janvier ; 26 janvier ; 23 février ; 9 mars ; 23 mars ; 27 avril 2015

inscriptions

Lieu : Locaux UNIVA – 31, place Bellecour, 69002 Lyon

lkouyoumji@univ-catholyon.fr

Vous avez trois possibilités d’inscription, choissisez celle qui vous convient !

 En venant lors des journées d’inscription :

Du Lundi 16 septembre au Vendredi 27 septembre de 14h 30 à  17h

 Par correspondance,

En remplissant et en renvoyant la fiche d’inscription ci-dessous à  l’adresse suivante :
UNIVA, 25 rue du plat – 69288 LYON Cedex 02

http://www.univ-catholyon.fr/ecoles-fac-instituts/univa/s-inscrire/s-inscrire-a-l-univa-57987.kjsp?RH=1273562364641

EL GRECO

Jeudi 27 novembre 2014 à  19h00

Mort il y a tout juste 400 ans, El Greco laisse une œuvre qui ne cesse d’intriguer.
Que sont ces silhouettes en forme de flamme ?

Pourquoi de tels écarts avec le réalisme auquel il s’était essayé au début de sa carrière ?

Faut-il voir en El Greco un peintre au discours religieux original, ou bien ne fait-il que mettre en œuvre les directives du Concile de Trente, à  moins qu’il ne fasse que fournir avec génie ce qui se vend sans être proprement concerné par ce qu’il peint ?

P. Royannais, docteur en anthropologie religieuse et en théologie, vivant actuellement à  Madrid, présentera certaines toiles pour apporter quelques éléments de réponse à  ces questions.

Gilbert BRUN

CONTACT : Instituto Cervantès : 58, montée de Choulans 69005 Lyon

Tel.: 04 78 38 72 41 , cenlyo@cervantes.es ,
matriclyo@cervantes.es

http://lyon.cervantes.es/fr/default.shtm

« Paroles aux habitants »

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« Paroles aux habitants »
au Couvent de la Tourette
jusqu’au 31 juillet 2014

découvrez l’exposition « Paroles aux habitants » des Utopies Réalisées qui diffusera des témoignages audiovisuels des usagers et visiteurs du Couvent.

L’exposition sonore sera présentée jusqu’au 31 juillet avant de circuler sur les 4 autres sites des Utopies Réalisées.

Musée Urbain Tony Garnier, Lyon / Gratte-Ciel, Villeurbanne / Cité des Etoiles, Givors / Site Le Corbusier, Firminy

En savoir plus :
http://www.utopies-realisees.com/

Venez vous prendre en photo dans le Mémomaton et raconter votre propre expérience du Couvent !

Comment vit-on aujourd’hui dans un patrimoine issu des grandes
utopies du XXe siècle ?
Placer l’homme au coeur du projet architectural et urbain, telle était
l’ambition commune aux 5 sites « Utopies Réalisées ». Des maires et des architectes ont partagé une conviction et bâti des projets. La conviction qu’une architecture et un urbanisme modernes pouvaient contribuer à  un monde meilleur. Des projets pour améliorer les conditions de vie dramatiques des habitants à  l’époque, en leur apportant du confort mais aussi de la dignité et une certaine élévation personnelle.
Outre leurs qualités architecturales, ces sites présentent la particularité d’être des patrimoines vivants et habités. L’exposition Utopies Réalisées – Parole aux habitants propose de découvrir les liens singuliers qui unissent les habitants à  leur lieu de vie. Elle immerge le visiteur dans un kaléidoscope sonore qui place visions d’architectes et témoignages d’habitants en « face à  face ».
Ces témoignages « in situ » permettent de mieux comprendre la vie des habitants de ces sites au quotidien, mais aussi de mieux ressentir comment ils les perçoivent, les pratiquent, ou se les approprient. Une mise en perspective des utopies d’hier qui ouvre la réflexion sur des questions d’aujourd’hui.
Ouverture : du lundi au samedi de 14h à  18h – Contact : 04 72 19 10 90
www.couventdelatourette.fr –