dans le cadre du Printemps des Poètes.
Renseignements et réservations : Réservations au 04.78.37.98.17
Pour en savoir plus sur le Printemps des poètes :
[->http://www.espacepandora.org/Printemps-des-Poetes-2014.html?debut_articles=%408]
dans le cadre du Printemps des Poètes.
Renseignements et réservations : Réservations au 04.78.37.98.17
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9 représentations de « Pause Caddie » par la Troupe de la Ficelle au Centre Culturel Saint Marc
Une comédie de Jean-Charles GAILLARD, mise en scène par Pierre STAGNARA.
Un hall d’un immeuble, impeccablement tenu par une concierge plutôt bourrue. Dans cet immemble, vivent un député et sa femme ainsi qu’un jeune couple bohème. L’arrivée de deux SDF, une voyante et son compère amnésique va bouleverser leurs habitudes tranquilles.
Ajoutez à cela une pincée de suspens, un mystérieux enlèvement, la recherche d’une identité perdue et voilà le départ d’une pièce drôle et dynamique.
Renseignements : cathjoubert@hotmail.fr
A la suite au succès du spectacle »Le Monde est en feu » à Lyon, Paris et Saint Etienne en avril et mai dernier, une nouvelle représentation est proposée :
15 montée des Carmes, Lyon 5ème
Réservation et renseignements sur le site:
http//le-monde-est-en-feu.jimdo.com
ou tel.: 06 32 10 97 65
En traversant les deux dernières années d’Edith Stein, exilée à Echt en 1940, 9 acteurs portés par des chants yiddish, nous plongent au cœur de la vie intérieure de la carmélite, au moment où les évènements se resserrent sur elle comme un étau : l’invasion de la Hollande, la décision des évêques
au théâtre du Lycée St-Marc à Lyon 2ème
Chacun de nous peut se sentir interpellé par une telle pièce car elle révèle ce que peuvent accomplir dans toute vie l’appel à ne pas se satisfaire d’un bonheur facile, la foi capable de déplacer les montagnes, le rôle de la patience et celui de la violence, l’efficience du renoncement, du pardon et de la grâce.
Dans l’histoire de Violaine et de sa soeur Mara, rivales et complémentaires pour que se réalisent les desseins cachés de Dieu et le possible de gloire de l’homme, deux thèmes dominent qui sont les vecteurs de la progression dramatique : celui de l’éloignement (départ du père, éloignement de l’homme aimé, éloignement de la fiancée promise) sans lequel les personnages ne vivraient pas l’expérience de la liberté. Et le thème de la lèpre, signe de punition divine dans l’imaginaire collectif, mais ici symbole de la grâce agissante.
Cela vaut pour une plus grande histoire. Non seulement l’histoire d’une famille de riches paysans dans un Moyen-âge de convention, mais aussi l’histoire d’une nation et d’une communauté en proie à la perte de ses repères. En ce sens, le miracle de la résurrection d’une enfant morte, point culminant de la pièce, vaut pour la vie d’un peuple comme pour la vie individuelle, et pour l’âme comme pour le corps. De ce fait, L’Annonce faite à Marie, que Claudel demandait à jouer avec entrain et simplicité, presque de la gaieté – ce qui est notre parti pris, est une histoire pour notre temps, une histoire qui nous touche et nous bouleverse comme peu d’oeuvres y parviennent dans le théâtre moderne.
version définitive pour la scène (1948)
par le Théâtre de la Clairière
mise en scène Pierre Louis
Violaine Elsa François
Pierre de Craon Marc-Antoine Crionnet
Anne Vercors Pierre Louis
La mère Catherine Bataillard
Mara Roseline Malaisé
Jacques Hury Lucas Vautrin
comparses Benjamin Rota, Alix Baudoin, Hugues Calbrix, Annabel Polly et Chloé Angeloni,
Camille Vallet, Vincent Bocher, Dominique Bertrand, Françoise Masson (du Centre St-Marc)
prix des places : 15 € / tarif réduit 10 € (étudiant, scolaire, chômeur)
/ 06 63 65 18 58
Violaine, fille aînée d’un riche paysan, Anne Vercors, salue le départ de leur hôte, l’architecte bâtisseur d’églises Pierre de Craon qui est atteint de la lèpre. Emue de piété, Violaine lui donne un baiser que surprend sa jeune soeur Mara.
Acte I – Anne Vercors annonce à sa femme qu’il a décidé le mariage de Violaine avec Jacques Hury et qu’il part aussitôt pour Jérusalem.
Acte II – Mara aime Jacques et jalouse sa soeur. Elle sème le soupçon dans l’esprit de Jacques. Celui-ci, au cours d’une grande scène d’amour avec Violaine, apprend de cette dernière qu’elle est devenue lépreuse. Le jeune homme y voit la confirmation des accusations de Mara. Le mariage est rompu. Violaine est conduite à la léproserie la plus proche.
Acte III – Sept ans plus tard, Mara accouche d’une petite fille, Aubaine, qui meurt subitement. Mara vient retrouver sa soeur dans le bois de Chevoche et lui apporte le petit corps. Sa douleur arrache à Violaine le miracle : Aubaine revient à la vie mais ses yeux sont devenus bleus comme ceux de Violaine.
Acte IV – Le miracle a redoublé la jalousie de Mara contre sa soeur. Mara a voulu tuer Violaine. Jacques est sur le point de découvrir la vérité quand le père revient, portant Violaine dans ses bras
« Et voilà ! Voilà , le tour est joué, voilà comment ce monde hébété, stupide et creux comme un tambour, ce monde qui ne croit en rien, est condamné, pour prix de sa vacuité, à subir la loi d’un homme qui croit en tout. » Jacques Julliard, Le Nouvel Observateur
Pierre Louis auteur, metteur en scène, fondateur du festival des Nuits de Joux, directeur du Centre d’Animation du Haut Doubs jusqu’en 2007, dirige le Théâtre de la Clairière implanté à Besançon et à Pontarlier.
Il a réalisé en 2009, en partenariat avec les villes de Besançon et Fribourg en Brisgau Bach au café et au dessert spectacle musical bilingue, et en 2010, avec l’atelier théâtre du Centre diocésain de Besançon, Antigone de Sophocle donné pour le nouveau festival qu’il anime, Soirs d’été au Centre diocésain.
Une autre de ses créations, Courbet derniers feux a été présentée en région et en Suisse romande, en partenariat avec le Conseil Général du Doubs.
Pour Les nouvelles Rencontres de Brangues, son texte Paul Claudel et l’arc-en-ciel fera l’objet d’une lecture théâtralisée au château de Brangues lors du Printemps des Poètes 2014. Le musée de la Résistance de Besançon a retenu sa chronique-fiction pour le théâtre Une petite gare en France en support d’animation du concours de la Résistance 2014.
Le Théâtre de la Clairière compagnie indépendante, est constitué de comédiens et musiciens professionnels et amateurs originaires de Franche-Comté, de Paris et de Lyon. Outre L’Annonce faite à Marie, il effectue actuellement un travail sur Oncle Vania de Tchékhov et sur une création inspirée d’un épisode de l’Evangile de Luc, Sur la route avant l’aube (Les Pèlerins d’Emmaà¼s). Il prépare une tournée de son dernier spectacle poétique et musical, D’une rime à l’autre, sur des textes de La Fontaine, Victor Hugo, des chansons d’Aznavour, Gainsbourg et Nougaro et des musiques de Bach et Nino Rota.
C’est le thème de Lecture animée par Pierre Louis,
sur des textes de Péguy, Claudel, Ibsen, Bernanos, Mauriac …
Dimanche 10 novembre à 17 h
Théâtre de Lune 25 rue René Leynaud Lyon 1er
(entrée passage Mermet)
Tarif : 8 €
Dans le cadre de la BASA « hors les murs », une lecture de paroles de poètes et d’écrivains est proposée dimanche 3 décembre à 17 heures au Théâtre de Lune, Passage Mermet Lyon 1er.
mercredi 9 octobre à 20 h 30
Salle Edouard Herriot
1 Place Antonin Jutard Lyon 3ème
En réalité, Tchekhov a plusieurs fois souligné qu’elle était une réécriture, en 1899, d’une comédie datant de presque dix ans (« L’esprit des bois ») et, peut-être, pourrait-on rappeler à son sujet les propos de l’Annoncier du « Soulier de Satin » de Paul Claudel : « c’est ce qui vous paraitra le moins amusant qui est le plus drôle ».
Comédie dramatique, donc, analyse clinique d’un monde confiné, attentive aux moindres détails de la vie quotidienne en province (« Scènes de la vie à la campagne »). Une vie dominée par l’ennui, le travail comme remède, par le rêve de jours meilleurs comme une nostalgie du futur. Les personnages de Tchekhov sont pris dans la répétition d’une vie monotone dont ils perçoivent la vacuité en même temps qu’ils manifestent leur impuissance à sortir de ce huis clos. Ils sont, en quelque sorte, des « Sisyphe heureux ». Tchekhov était médecin en même temps qu’écrivain et il a écrit plusieurs farces. Il nous livre ici une étude de comportements qui se révèlent à l’occasion du moindre affrontement, mettant en lumière les passions refoulées et les mesquineries de chacun. Vania vit avec Sonia, sa jeune nièce, dans une propriété agricole qu’il gère avec elle. Il y a la nourrice Marina, Maria, la mère de Vania, Téléguine, un propriétaire ruiné. Et il y a Astrov, le médecin, féru d’écologie, fatigué et désabusé. La propriété appartient à Sonia, elle l’a héritée de sa mère qui est décédée et qui était la première épouse de Sérébriakov, professeur en retraite à la réputation
usurpée qui a fasciné toute la famille et qui, sans vergogne, tire les bénéfices de la propriété. Il est remarié à une jeune et séduisante femme, Elena. Une crise est déclenchée avec la décision du professeur de vendre la propriété à son profit. Réaction de Vania qui tirera au pistolet sur Sérébriakov en le ratant.
Pièce d’atmosphère où il est question aussi du désir amoureux et où
l’essentiel est dans le détail et réciproquement. A la fin, la vie recommence après le départ des perturbateurs. « Il faut vivrenous allons vivre, Oncle Vania » dit Sonia qui a du coeur et qui croit que les mérites seront récompensés.
Depuis plus de 50 ans, l’ARIMC est pilote pour l’intégration, l’accès à la culture et la citoyenneté, l’éducation, l’entraide, le sport, quelles que soient les difficultés des personnes.
Les bénéfices de la pièce sont destinés à finnancer l’activité « loisirs » de l’Association qui permet aux adultes hébergés de profiter de sorties en semaine ou en week-end.
réunit depuis plus de 20 ans, un groupe d’amateurs de théâtre qui ont mis leur passion au service de plusieurs association caritatives, grâce à molière plusieurs fois, ou encore à Goldoni, à Feydeau ou a Ionesco.
«
Soirée organisée par l’Eglise Protestante Unie. Soupe à l’oignon servie à l’issue de la représentation.
Contact : buron.vincent@acsj.fr / 04 78 45 30 58 / 06 86 47 03 76
Temple du Change, place du Change Lyon 5e,
vendredi 7 février 2014, à 20h30.
• Mardi 24 septembre 2013 à 19h30
Entre théâtre et danse, la thématique de l’exil. Par la Compagnie « Des étoiles plein les poches ». « Faire sa valise : Partir ? Ne pas partir ? Ne jamais revenir ? »
Entrée : 10 €, 5 € pour les étudiants
E-mail : accueil.stnom@gmail.com
[->www.agoratetedor.com]
Le projet de l’agora tête d’or est d’être un lieu public, ouvert le plus largement possible à tous les courants de notre temps, avec le souci de rejoindre nos contemporains dans leurs interrogations les plus essentielles.
Les frères dominicains, associés à des amis laïcs, en ont la responsabilité et les locaux du couvent des dominicains accueillent l’ensemble des activités proposées.
au couvent de La Tourette (Le Corbusier), près de Lyon dans la nuit
du vendredi 19 à 20 heures au samedi 20 juillet à 10 heures
Un homme seul en scène pour 8 heures de spectacle Claudel a traduit les psaumes de la Bible. Ces poèmes racontent une histoire. Dans cette histoire, dans cette langue claudélienne, le spectateur se laisse emmener.
Stéphane Daclon, comédien
C’est un homme, seul, pendant huit heures, qui vit, clame, interprète tous les psaumes traduits par Paul Claudel (1868-1955). Et l’on passe ainsi du désespoir à la louange qui emporte avec elle toute la création. Quel est le sens de toute cette souffrance ? Peu-à -peu les paroles prennent forme et ouvrent un chemin vers la vie. La supplication se fait louange. La parole transforme de l’intérieur celui qui l’énonce, l’ouvre à une rencontre, lui révèle une vie possible.
Un voyage dans la beauté de la langue, de la pensée accrochant la
pensée, et tirant.
Psaumes-Paul Claudel
Un éblouissement. Cette traduction des psaumes de la Bible par Paul Claudel est un éblouissement. Le lecteur ouvre le livre à n’importe
quelle page, à n’importe quel psaume, et se laisse emporter par la poésie claudélienne, par cet homme qui s’adresse à Dieu pour demander un secours dans l’engloutissement et la détresse, pour
répondre à la miséricorde et à la bonté du «bon Dieu », pour témoigner de cette invasion de la grâce qui le réconcilie avec lui-même.
Claudel médite les psaumes ou plutôt les mange, et jaillit alors, dans
la langue du poète,ce qu’il y a de plus profond au cœur de l’homme:«
Comblé de grâce et de tendresse, mes lèvres donnent issue à ce flot en moi de poésie qui monte ! »
En savoir plus.
ou [->http://www.couventdelatourette.fr/spip.php?article233]