Après-midi culturel autour d’Etty Hillesum

Samedi 8 novembre au Théâtre de l’Astrée

la Doua – 6 avenue Gaston Berger – Villeurbanne 69100

cette année,c’est le centenaire de la naissance d’Etty. Agnostique juive de 27 ans, écrit son journal en 1941 – 1943.

Le propos n’est pas la guerre, mais Etty, campant la vie en touches légères et tendres.

Confrontée progressivement à  l’oppression, elle ne fuit aucun aspect de la réalité qui l’entoure, néanmoins elle s’attache au battement doux et paisible de la vie au fond d’elle-même.

Nous invitons les personnes à  prendre le temps, un luxe dans notre monde où il faut toujours se presser, pour vivre cette rencontre.

Programme

 14h 30 Concert Duo piano saxophone avec Jean-Paul Prat et Vincent Brizoux

 15h 30 Conférence sur Etty Hillesum avec Samuel Rouvillois, suivie d’un débat

 17h Pause – rafraichissement offert

 18h Spectacle Le Souffle D’Etty d’après les écrits d’Etty Hillesum
avec Annick Galichet et Mary Vienot – Compagnie le Puits

 19h 15 Fin

Sur le site vous trouverez de plus amples informations

Marie-Noëlle Guefif

Association Caldeira

Le Clos Saint Joseph

69610 St Genis l’Argentière

tel : 04 74 26 27 19 après-midi ; 06 07 65 41 83

www.caldeira.fr ; contact@caldeira.fr

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Le blog Cinema

de Marie-Noëlle Gougeon

BANDE DE FILLES

de Céline Sciamma (2014 1H52).


Avec Karidja Touré, Assa Sylla, Lindsay Karamoh, Marietou Touré.

Pas facile d’être une fille quand on habite dans les cités des banlieues. Des films avaient déjà  montré la réalité complexe des jeunes « beurettes », prises entre leur vie au collège intégrative et celle plus restrictive de la cité placée parfois sous la « coupe » du grand frère
On retrouve dans « Bande de filles » ces difficultés mais accentuées encore car les jeunes filles du film appartiennent à  la communauté noire : celle venue du Zaïre, du Sénégal, du Nigéria etc..
Comment alors trouver son identité ? Marieme, l’héroïne du film, se voit refuser d’aller en seconde générale, elle s’occupe de ses jeunes sœurs et est souvent corrigée par un grand frère accro aux jeux vidéo. Leur mère fait des ménages tard le soir, tôt le matin.
Alors seul havre de paix et d’affection, la bande justement : celle d’autres filles comme elle, qui cherchent à  se construire avec une énergie féroce une vie à  la mesure de leurs désirs.

Mais à  quoi s’identifier dans ces cités où c’est la loi du plus fort qui prime ? Les jeunes filles sont coincées entre des barres d’immeubles trop hautes, des coursives peu sûres, les bandes de garçons qui leur imposent leur façon de vivre. Et c’est justement vers tous ces codes du monde masculin qu’elles vont se tourner pour s’affirmer : le foot, les joggings et les sweats à  capuches (jusqu’à  se bander les seins pour ne pas monter leur féminité).
Il faut cogner pour montrer sa supériorité croient-elles, affronter la chef d’une autre bande de filles pour asseoir son territoire, dealer pour se faire accepter, changer de prénom pour faire croire qu’on sera mieux acceptée, se teindre en blonde pour intégrer le monde des « blancs »..C’est à  une course sans espoir que ces filles sont contraintes.
Les seules échappées sont celles où les jeunes filles loin de la cité, s’expriment, chantent à  tue-tête, comme sous la Grande Arche de la Défense, leurs longues jambes moulées dans des shorts rutilants. La plus belle séquence du film.
Après avoir quitté sa famille et essayé toutes les solutions possibles pour sortir de ses difficultés, Mairieme, tente de revenir chez elle. Devant la porte de son immeuble, elle hésite. On laisse le spectateur choisir la fin de l’histoire.

Bande de filles est un film physique, où l’énergie et l’envie d’exister de ces jeunes ados crèvent l’écran : elles parlent fort, s’apostrophent avec violence et humour. Le lien qui les unit est à  la fois solide et si fragile. Les jeunes filles, toutes actrices non professionnelles, jouent quasiment leur propre rôle et sont épatantes…

Pas sûr pourtant que Bande de filles plaise à  tous et en particulier aux filles de ces cités.
Et pourtant il se dégage de ce film une vitalité si grande qu’il nous prend au collet dès la première séquence, (un match de foot américain joué par les filles !) qu’il ne nous lâche plus, nous obligeant à  regarder cette réalité des filles blacks de nos cités, faite de bleus à  l’âme et au corps…. Une sacrée interrogation.

BREVES DE STRAPONTIN

BREVES DE STRAPONTIN

« La vie ne serait pas la même, s’il n’y avait pas le cinéma. » Le très beau festival Lumière autour d’Almodovar vient de nous confirmer l’attrait du public pour le 7ème Art qui,au-delà  du divertissement crée des rencontres et ouvre à  la réflexion.
Lyon est bien une ville Lumière, et même si les feux de la rampe sont moins visibles au quotidien que les écrans des lanternes magiques, le théâtre n’est pas en reste. L’offre est plus dispersée, mais considérable .Le choix est difficile, et souvent a parfum de regret, lorsque la régularité d’un abonnement à  l’un des hauts lieux de la Cité n’agit pas comme un rappel à  l’ordre .Le théâtre de façon paradoxale est éphémère, en même temps qu’il est universel, car il parle de l’homme à  des hommes ,de ses interrogations ,de ses croyances ,de sa vulnérabilité, de ses contradictionsNotre besoin de spiritualité peut trouver là  de quoi se nourrir. Il n’ya pas de théâtre chrétien, mais des hommes et des femmes en chemin, en quête de sens .La foi se nourrit de la Culture, et l’Art en est un des terreaux les plus fertiles, a fonction d’éveil.
Est-il possible de donner chaque mois quelques pistes, en réajustant chaque semaine en fonction des informations tardives pour des lieux moins fréquentés ?

Quelques suggestions déjà  :

• Péguy a eu sa nuit anniversaire, grâce au Collège Supérieur, (avec la très belle prestation de Jean Paul Lucet, dans le « Mystère de la Charité de Jeanne d’Arc » relayée à  l’Agora-Tête d’Or par une conférence de Monseigneur Batut et une lecture d’extraits d’ « Eve ». Nemanquez pas les 12-13-14 novembre les manifestations organisées par l’Amitié Charles Péguy.(www ;journéespeguy.com)

• Evocation de l’anniversaire de la guerre de 14-18 avec à  Irigny, dans le cadre d’une exposition attractive, le 7 novembre, une création originale « Nous ne l’embrasserons plus », du côté des familles, et à  partir du 26 novembre, au Théâtre des Marronniers, « les Paroles de Poilus ».

• Les grandes figures mythiques du théâtre : Phèdre (aux Célestins), Arnolphe (au TNP), Lucrèce Borgia au Théâtre de la Croix Rousse (c’est la troisième mise en scène cette année de la pièce de Victor Hugo, et cette fois avec dans le rôle principal : Béatrice Dalle !)

• « Le Cahier d’un retour au pays natal » d’Aimé Césaire, par le Théâtre Oblique : un grand comédien Olivier Borle au service d’un texte poétique très fort ,nourri à  la fois de la colère de l’esclave, d’une langue témoin d’une histoire et de l’humanité de l’auteur, ami de Leopold Senghor.Le spectacle qui a inauguré la saison de l’Agora-Tête d’Or sera reproposé à  Lyon.

au Collège Supérieur, renseignez- vous sur les dates de deux Ateliers de Lecture,

• L’un sur : « King Lear » du grand Will,

• Le second sur Francis Ponge : « Le Parti-pris des Choses ». (www.collegesuperieur.com).

et en avance, au TNP, fin avril, début mai, réservez si vous ne l’avez pas encore vu, avec Juliette Rizoud, dans une mise en scène de C Schiaretti :

• « La Jeanne de Delteil », un moment de pur bonheur dans la meilleure tradition théâtrale, un spectacle du répertoire.

Hugues Rousset

Confluences-Polycarpe – se construire par la beauté

Dans ce numéro

Editorial

L’automne, symbole du «bien vieillir »
Non-puissance, sobriété et espérance, quelle société voulons-nous ?

Vieillir avec la Bible

Adhérer

La Vierge parmi les vierges

Cours à  St-Bonaventure

La Renaissance et la Réforme. Les temples de Lyon

L’amour sous verre

Grande Chartreuse

Exposition à  Confluences-Polycarpe

http://confluences-polycarpe.org/wp-content/uploads/2014/10/octobre-2014internetr%C3%A9duit.pdf

Espace culturel Saint-Polycarpe

25 rue René Leynaud

69001 Lyon

permanence du jeudi entre 15 h et 18 h

entrée au milieu de l’escalier du passage Mermet entre la rue
Burdeau et la rue René Leynaud.

Tél.: 04 72 40 98 20

courriel: confluences.beau@orange .fr

http://www.confluences-polycarpe.org/

EVARISTO

EVARISTO (1923-2009)

au musée de Fourvière

du 27 Septembre au 5 Janvier

dévoile le côté mystique de ce réfugié espagnol qui s’inscrit, grâce à  un travail acharné et hors normes, parmi les grands peintres lyonnais.
En effet, Evaristo était très croyant et si l’on ne voit dans son œuvre peinte que des masques morts aux yeux énucléés, des bouches qui crient la faim, on oublie que si les morts d’une guerre fratricide ont jalonné son enfance, blessure dont il ne guérira pas, Evaristo s’est accroché, sa vie durant, à  l’Espérance chrétienne enracinée dans sa famille.

Il a su dénoncer les cruautés et les ténèbres de l’existence avec les« couleurs impétueuses » rouge, vert, jaune, des poivrons de son enfance espagnole magnifiées par les cernes noirs chers à  Rouault.

Si sa foi l’a orienté vers la représentation du Christ et les rappels évangéliques, ses paysages s’organisent autour d’une église (St-Fons), d’un cimetière d’où la mort semble s’évaporer au soleil d’ un ciel prometteur. Il y a beaucoup à  découvrir dans labelle exposition que nous présente l’équipe du musée de Fourvière.

Certes, Evaristo dénonce la cruauté du monde, mais autour des « yeux de charbon ouverts sur les interrogations éternelles », il y a le mûrissement d’un enfant pauvre et déraciné exprimant toujours sa foi en la présence divine dans l’humanité de son questionnement.

Arlette Dissard

CARNETS D’A DIEU, MON AMOUR

Comment traduire sans trahir l’accompagnement, jusqu’au dernier souffle, de l’aimé atteint d’un cancer incurable ?
Ce court témoignage a la puissance des grandes oeuvres littéraires. Une écriture ciselée aide à  mettre des mots sur l’indicible.
Ce livre est précieux parce que délicat. Avec des mots choisis, il explicite la maladie, depuis l’annonce du mal jusqu’au vide de l’absence.
Ce livre est précieux parce que baigné d’une espérance douloureuse, d’une lumière née à  la pointe de la nuit qui porte le lecteur vers un jour nouveau. – Sauramps

PROGRAMME – ESPACE SAINT IGNACE

«Les Beatitudes »
3 mercredis (19h30-21h30), les 5, 12 & 19 novembre
à  l’Espace Saint Ignace, 20 rue Sala, Lyon 2° (Métro Bellecour)

«Y-a-t-il une spiritualité jésuite (XVIe-XXIe siècles) ? »Jeudi 23 octobre 10h-17h30 : Colloque: (message Saint Ignace de Loyola) – A LA BIBLIOTHÈQUE MUNICIPALE DE LA PART-DIEU

http://www.bm-lyon.fr/spip.php?page=agenda_date_id&source=&date_id=356

Pour avoir le programme 2014-2015 de l’Espace Saint Ignace, cliquez sur ce lien:
http://famille-ignatienne-lyon.fr/wp-content/uploads/2014/05/Programme-ESI-2014-2015.pdf

CONTACT : Dominique Gonnet, s.j. -06 15 11 12 36
Tel.: 04 72 77 73 53 (laisser sonner) –
20 rue Sala, F-69002 LYON

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LE BLOG CINEMA – « Hippocrate »

Hippocrate un film de Thomas Lilti (2014) 1H42′.

avec Vincent Lacoste, Jacques Gamblin, Reda Kateb, Marianne Denicourt.

Benjamin effectue son stage d’interne dans un hôpital de la région parisienne, en médecine interne, dans le service que son père dirige. Mais il va très vite déchanter. Non, la présence de son géniteur plutôt taciturne ne facilitera en rien son apprentissage.
Très vite, il se heurte à  la réalité quotidienne des urgences : le malade chronique, SDF, que l’on revoit régulièrement car il ne se soigne plus et qui décèdera provoquant les premières interrogations de Benjamin qui le suivait. Autre cas : une vieille dame, victime d’une chute et qu’on s’acharne à  remettre sur pieds alors que l’on sait qu’elle ne remarchera plus..
Abdel, un médecin algérien FFI (faisant fonction d’interne) a pris Benjamin en amitié et essaie de lui ouvrir les yeux sur certaines absurdités voire certains manques graves de la médecine : pourquoi sonder cette vieille femme, la ranimer puisqu’elle-même a demandé à  ne pas être prolongée si rien ne peut plus être tenté ? Comment accepter de couvrir un autre médecin en sachant qu’il a omis de faire un examen, faute qui s’est avérée dramatique pour le malade ?

On le voit : des sujets graves qui peu à  peu deviennent un cas de conscience pour tout le service. Benjamin va parcourir un vrai chemin initiatique sous l’aile bienveillante d’Abdel. Et ce métier qu’il pensait ne pas pouvoir exercer devant tant de difficultés, il l’adoptera finalement après la confrontation avec la mort, la douleur physique des patients, le chagrin des familles, l’hostilité de la direction.

Tout est criant de vérité dans Hippocrate : depuis la vétusté du service (c’est l’hôpital de Garches qui est filmé) jusqu’aux interrogations de Benjamin en passant par les plaisanteries de carabins, la dureté économique du secteur médical, les controverses éthiques, le sens de l’engagement de la plupart des médecins du service.
Le jeune Vincent Lacoste vu dans Les Beaux gosses montre un visage juvénile qui peu à  peu s’affirme et perd de son égoïsme. Reda Kateb (Abdel) porte le film avec sa droiture et sa révolte.
Marianne Denicourt, l’adjointe du patron, d’abord intransigeante et butée finit par s’ouvrir à  une forme de médecine qui respecte davantage la personne
L’humain est au cœur du métier de médecin, il est parfois oublié : Hippocrate, film grave et juste nous le rappelle avec brio. Il est tout à  l’honneur du jeune réalisateur qui fut lui-même médecin.

de Marie-Noëlle Gougeon

LE BLOG CINEMA – Festival Lumière 2014

de Marie-Noëlle Gougeon

Semaine du 15 au 22 octobre

C’est la fête du Cinéma cette semaine à  Lyon avec cette édition 2014 du Festival Lumière. Près de 150 films projetés dans plus de 35 salles lyonnaises sans compter les hommages, les séances spéciales et bien sûr, la remise du Prix Lumière 2014 cette année à  Pedro Almodovar le vendredi 19 octobre.

Alors quelques pépites glanées ici ou là  au gré de nos coups de cœur :

D’abord, honneur au lauréat, Pedro Almodovar, pour deux de ses films :

•« Parle avec elle » (2002) un beau film sur la passion amoureuse, le langage du corps, l’incommunicabilité.

Comoedia – dimanche 10H30.

• «Volver » (2006) ou la vie trépidante d’une famille, d’un village, au travers trois générations de femmes, un trio emmené par la volcanique Pénélope Cruz.

UGC Astoria mer 20H30. Saint-Priest ve 14H30. Pathe Bellecour di 17H15.

Ensuite deux hommages :
Le premier à  l’actrice américaine Faye Dunaway. On choisit deux films qui tracent un portrait au vitriol de l’Amérique des années 70.

• «L’arrangement » d’Elia Kazan (1969) avec Kirk Douglas et sa quête d’un sens à  sa vie malgré sa réussite matérielle. Interprétation magistrale du comédien. Cinéma très moderne.

Institut Lumière ma 16H. Pathe Bellecour sam 16H45.

• «Portrait d’une enfant déchue » de Jerry Schatzberg (1970) ou la descente aux enfers d’un mannequin dans le monde de la pub et de la photo. Faye Dunaway fragile et paumée, déchirante.

Pathe Bellecour me 14H30.

Le second, hommage au Temps de Claude Sautet. Trois films parmi la quinzaine présentée :

• «Mado » (1976) avec Michel Piccoli et Ottavia Piccolo. La rencontre d’un homme au bord de la faillite et de Mado toute jeune prostituée. Un film sombre avec Michel Piccoli en quadra ébranlé

Comoedia lu 10H30. Pathe Bellecour ve 14H15. Cinéma Opéra di 17H30.

• «Une histoire simple » (1978) avec Romy Schneider. Un des derniers films de l’actrice fétiche de Claude Sautet. Un beau portrait de femmes dans leurs vies privées, leurs rapports au monde du travail.

Comoedia je 10H30. Cinéma Opéra ve 14H30. Pathe Bellecour sa 10H30.

• «Un cœur en hiver » ( 1992) pour le trio d’acteurs : André Dussolier, Daniel Auteuil, Emmanuelle Béart.

Caluire je 20H30. Pathé Bellecour sa 14H Pathé Cordeliers di 10H30.

Parmi les splendeurs des Restaurations 2014

• «Andrei Roublev » d’Andrei Tarkovski (1966). Le parcours du moine Andrei Roublev, peintre d’icônes.

Pathe Cordeliers me 20H. Comoedia ve 20H30. CNP sa 17H.

• «Une journée particulière » d’Ettore Scola. (1977). Pendant que Mussolini accueille Hitler à  Rome le 8 mai 1938, une mère de famille rencontre son voisin homosexuel. Bouleversant. Avec S. Loren et M Mastroianni. Le chef d’œuvre d’Ettore Scola.

Comoedia mer 19H45. Villa Lumière je 20H30. Pathé Bellecour ve 22H15. UGC Confluence di 14H30.

Enfin dans la série Grandes Projections

• «2001, l’Odyssée de l’espace » de Stanley Kubrick. Pour revoir ce poème futuriste, replonger dans ses réflexions métaphysiques et voguer une fois encore dans l’Univers sur les notes du Beau Danube bleu.

Pathe Bellecour je 21H, Sainte-Foy-lès-Lyon ve 20H UGC Cité Internationale di 14H30.

Bonne semaine au Festival Lumière .

PÈLERINAGE DANS LA VILLE

du 8 au 12 novembre

Pour cette 2ème édition, les lieux de vie et de travail de 6 grands chrétiens lyonnais sont ouverts à  la visite, sans réservation, aux horaires annoncés.

Un livret du Pèlerin sera remis aux visiteurs. Vous pourrez ainsi découvrir le Père Antoine Chevrier, Pauline Jaricot, Frédéric Ozanam, Claudine Thévenet, le Curé d’Ars et Gabriel Rosset.

Nouveau cette année sur le parcours, Gabriel Rosset (1904-1974) est le fondateur du Foyer Notre-Dame des Sans-Abris.

A travers la visite de ces endroits, en découvrant ainsi l’intimité de ces personnes, c’est à  la découverte de toute leur spiritualité que sont invités les visiteurs.

Une bonne façon de prolonger la fête de tous les Saints !

pour toute information complémentaire.

Marie-Amélie Saint Georges
déléguée diocésaine
Pastorale des Réalités du Tourisme et des Loisirs

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