Les Jésuites hier et aujourd’hui

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200ème anniversaire du Rétablissement de la Compagnie de Jésus

Portes ouvertes les vendredi 21 et et samedi 22 mars 2014

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Programme

Vendredi 21 mars 20 h – Les Jésuites hier et aujourd’hui Espace Culturel Saint Marc – 10 rue Sainte Hélène – 69002 Lyon

  • Conférence à  trois voix
    · Le Rétablissement des Jésuites (1814) par le Père Michel Hermans, sj,
    professeur en sciences religieuses à  l’Université de Namur et professeur d’histoire du christianisme au Centre Sèvres de Paris
    · Les Jésuites à  Lyon depuis deux siècles (1814-2014)
    Monsieur Bruno Dumons, directeur de recherche au CNRS, diacre permanent
    · Les Jésuites aujourd’hui par le Père François Euvé, sj,
    rédacteur en chef de la revue Études

Samedi 22 mars 14h – Portes ouvertes

Communauté et Espace Saint Ignace – 20 rue Sala – 69002 Lyon

  • Découverte de la maison des jésuites et de leur noviciat.
  • Exposition, présentation des activités des jésuites sur Lyon et la région Rhône-Alpes (rencontres, animations, vidéos, dessins, photos).
  • 18h – Trois OUI pour un Amour Espace Culturel Saint Marc – 10 rue Sainte Hélène – 69002 Lyon Pièce en trois tableaux de Pascal Gauderon sj, suivie des Vêpres de Saint Ignace.
  • 19h – Apéritif et échanges fraternels
    Communauté et Espace Saint Ignace – 20 rue Sala – 69002 Lyon

Pour tout renseignement
04 72 77 09 00

[->www.espacesaintignace.fr]

Les-jesuites-Dossier-de-presse-2.pdf

En savoir plus :

La Province des Rois Immolés

L’occasion de retrouver le célèbre conteur Sam Cannarozzi dans un récit musical autour d’une légende soudanaise, accompagné par Louis Soret.
du 12 au 24 mars 2014
dans le cadre du Printemps des Poètes.

Renseignements et réservations : Réservations au 04.78.37.98.17

Pour en savoir plus sur le Printemps des poètes :

[->http://www.espacepandora.org/Printemps-des-Poetes-2014.html?debut_articles=%408]

la poésie au coeur des arts

Passeurs d’Europe

Soirées internationales de poésie Dans le cadre du Printemps des Poètes 2014 sur le thème « La poésie au cœur des arts », la Plateforme coordonne les soirées internationales de poésie « Passeurs d’Europe »
11, 12, 13 mars 2014

20 h au Musée des moulages à  Lyon, 3 rue Rachais, 69003 Lyon !

Chaque structure représentant un pays européen a choisi un poème dans sa langue, autour du thème « Au coeur des arts ». Poèmes contemporains ou classiques, ils chantent les arts et résonneront dans leur version originale, puis en français, avant d’être déclinés dans des langues du monde. Ces lectures, réalisées par des étudiants étrangers encadrés par des comédiens professionnels, seront mises en scène par Gaëlle Konaté et accompagnées par des musiciens du Conservatoire de Lyon.

Pour la première fois au Musée des moulages, ces soirées ouvertes à  tous permettront aux spectateurs de découvrir autrement un espace unique, dédié à  la sculpture et aux moulages des plus belles statues européennes.

Création musicale : Apolline Degoutte, Charlène Perradin, Louise Mezzapesa, Marjorie Macary, Claire Mouton, Léon Zhao et Rémi Thomas
Direction artistique : Véronique Boige

Réservations :

info@plateforme-plattform.org
téléphone au 04 78 62 89 42.

Week-ends

d’Anne Villacèque

France, 2014, 1h30

Sortie en France le 26 février 2014.

avec Karin Viard, Noémie Lvovsky, Jacques Gamblin, Ulrich Tukur.

La maison, désir du couple et abri de la famille, est un refuge contre les agressions extérieures mais elle peut être aussi un lieu de tension en soi et le signe visible d’une usure du temps.

L’histoire se déroule en Normandie que où deux couples d’amis de longue date ont acheté deux maisons de campagne mitoyennes. Christine et Jean et Sylvette et Ulrich y viennent régulièrement, avec ou sans enfant. Lorsqu’un couple est en crise, l’autre en subit forcément les conséquences. En quelques week-ends étalés sur 2 ou 3 ans, Anne Villacèque nous emmène au cœur de leur quotidien et de leur détresse. Avec l’aide du chef opérateur Pierre Milon, le film s’ancre dans les couleurs naturelles d’un bord de mer un peu humide, où la transparence laiteuse du ciel d’hiver répond à  la douceur des visages de ces couples qui ont vieilli sans y penser. 305190_b065ee1a2d4e2d14f4f1a585192a90bd.jpg

Déjà  dans Petite Chérie (2000), la réalisatrice instillait, dans le concept même de « la maison », une angoisse terrible. Pour décorer leur foyer, pour aménager leur nid, les personnages étaient prêts à  des concessions quasi monstrueuses, où ils donnaient une part de leur liberté. Dans Week-ends, la maison est le personnage principal, le lieu du conflit, le territoire convoité. Elle est l’enjeu d’une guerre domestique, avec ses dommages collatéraux sur les enfants et les voisins. Sortant de l’idée classique de la maison (refuge, havre de paix, source de bonheur et de satisfaction), elle montre que l’investissement d’un lieu peut se faire au détriment des relations entre ceux qui l’habitent, que l’ancrage définitif peut être vécu comme un emprisonnement et que les tensions familiales ne se résolvent pas avec un changement de papier peint ou de mobilier, voire même de conjoint. Le bouillonnement de l’individu en circuit fermé est toujours source de danger…

Dans Week-ends, il y a 4 personnages qui se connaissent depuis longtemps et se voient souvent. Incarnés par de grands comédiens, Christine (Karin Viard) et Jean (Jacques Gamblin) et Sylvette (Noémie Lvovski) et Ulrich (Ulrick Tukur) habitent aussitôt leurs maisons et le film, tant ils sont présents à  l’écran. On les « reconnaît » dans leur complexité, par la façon dont ils incarnent une scène, en apparence très simple mais qu’ils campent sans bavardage. Quant aux personnages secondaires, ils débarquent dans le film sans explication inutile et on sait d’emblée qui ils sont. La mise en scène fait avancer le récit, sans recours aux dialogues explicatifs. 305190_6611581acf8960179a4021162f3259f9.jpg

Même lorsque chacun reprend sa place, cette « place » que Christine défendait bec et ongles dans la scène d’ouverture, Anne Villacèque refuse le final conte de fées ou le parti prix pour l’un ou l’autre des personnages. Elle laisse deviner les failles de chacun et se garde de toute conclusion définitive. Dans une belle explosion domestique – pour rester dans le cadre de la vie ordinaire – elle met à  nu Jean le taiseux qui, tel un oiseau affolé par la pleine lune pose cette question terrifiante : et après ?

Week-ends fait partie de ces films dont l’apparente simplicité peut décontenancer. Pas de thèse psychologique, pas de grandes effusions, de drame ou d’horreur. Juste le déroulement naturel et implacable des semaines. Mais plus on revient au film, plus on se rend compte de sa richesse et des questions qu’il soulève. Quels sont les ingrédients qui font tenir un couple ? Comment résister à  l’usure de l’ordinaire et au temps qui passe ? Et si on fait comme si rien n’avait changé, n’est-ce pas encore plus terrifiant ? Et après ? y a t-il encore du désir, de l’envie ?

Magali Van Reeth

Voix intérieures et désirs enfouis : qui parle en nous ? Les forces obscures

Débat organisé dans le cadre du cycle « Les vérités qui dérangent », conçu et organisé par la Villa Gillet, le Théâtre de la Croix-Rousse et l’Opéra de Lyon

Avec : Lionel Obadia, Michel Terestchenko, Michel Schneider

Débat organisé en écho au festival d’opéras dédié à  Benjamin Britten (Peter Grimes, Le Tour d’écrou, Curlew River) du 10 au 29 avril à  l’Opéra de Lyon.

D’une grande modernité, l’oeuvre de Benjamin Britten, compositeur majeur du XXème siècle, n’a eu de cesse de s’attacher à  des questions dérangeantes : marginalité, folie, homosexualité, souillure morale… Ces thèmes qui traversent son oeuvre serviront de point de départ à  ce débat. L’art, la philosophie et la psychanalyse interrogent la capacité humaine au mal. Face à  ce scandale, l’artiste n’aurait-il pas lui aussi la capacité à  en saisir le mystère et à  révéler les forces obscures de la psyché ? Comment s’articulent volonté et perversion ? Comment saisir les monstruosités intérieures d’un individu et les articuler avec une époque ? De quelle manière pouvons nous encore penser le mal aujourd’hui ?
Au miroir de l’oeuvre de Benjamin Britten, un philosophe, Michel Terestchenko, un anthropologue, Lionel Obadia et un écrivain, psychanalyste et musicologue, Michel Schneider tenteront de répondre à  cette question.

En partenariat avec la librairie Le Bal des Ardents

> 5 € / Gratuit pour les lycéens, les étudiants, les demandeurs d’emploi et les détenteurs de Pass’Opéra Jeunes et solidarité sur présentation d’un justificatif.

Réservation auprès de l’Opéra de Lyon
www.opera-lyon.com
| 04 69 85 54 54

Ida

de Pawel Pawlikowski

Pologne/Danemark, 2013, 1h20

Sortie en France le 12 février 2014.

avec Agata Kulesza et Agata Trezbuchwoska

Une jeune femme, à  la veille de prononcer ses vœux, découvre l’histoire de sa famille et de son pays. Un film où l’esthétique épurée permet de tenir le drame à  distance.

Pologne, 1962. Ida a grandi dans un orphelinat puis dans un couvent. C’est une très jeune femme et, avant de prononcer ses vœux définitifs, la mère supérieure l’envoie rencontrer sa tante Wanda. C’est la seule famille qui lui reste. Mais Wanda est une femme fantasque, peu soucieuse des conventions, qui cache son chagrin dans l’alcool. Elle bouscule Ida mais l’accompagne dans ses recherches et lui permet finalement de choisir pleinement sa vie.301358_48bd0e77fee991029e93699f90a9b850.jpg

Après deux films assez intrigants, My Summer of Love (2004) et La Femme du Vème (2011), le réalisateur trouve une forme épurée pour évoquer des sujets sensibles. Il y a bien sûr l’itinéraire d’Ida, dont on voit tout de suite la fragilité de sa jeunesse face à  l’exigence d’une vie religieuse mais Pawel Pawlikowski ne veut pas seulement filmer son trouble au moment de s’engager. Il ne veut pas oublier l’histoire de son pays pendant la Deuxième guerre mondiale, lorsque les juifs polonais ont été massacré par leurs compatriotes : « l’Église catholique était le socle de l’identité nationale polonaise. Et cela s’est encore renforcé durant la période communiste. Historiquement, c’était compréhensible, mais d’un autre coté, cela a limité, voire déformé la foi chrétienne chez les Polonais, en lui donnant un aspect tribal et exclusif, en oubliant ce qui est transcendantal et universel dans le christianisme. A travers le personnage d’Ida, je voulais explorer cette question-là . »301358_9c287793a6368e67133b46c8aa4e44c2.jpg

Filmé en noir et blanc, dans un format carré qui resserre le cadre et élimine le spectaculaire, le film est très esthétique. La jeunesse et la beauté presque enfantine d’Ida s’en trouvent rehaussées, alors qu’on a l’impression d’être au plus près de son intimité. Lorsqu’elle ôte enfin son voile, nous sommes presque gênés de la surprendre ainsi. Pawel Pawlikowski suggère beaucoup et montre peu, comme dans la scène de la forêt où Ida trouve la preuve matérielle de l’existence de ses parents. En faisant le vide dans le cadre, il donne corps au silence. Silence de l’Histoire et silence d’une foi qui doute. L’émotion, comme la mort, est discrète. Elle n’en est pas moins réelle et troublante pour ceux qui la ressentent.

Agata Kulesza (Ida) et Agata Trezbuchwoska (Wanda) donennt une très belle interprétation de leur personnage. A la limpidité d’Ida, qui n’a même pas conscience du trouble qu’elle provoque chez les autres, s’oppose la complexité de Wanda, élégante, frondeuse et déterminée qui va peu à  peu laisser échapper les fissures du passé, jusqu’à  se briser vraiment.301358_efe789f422add18cfe1d2367ecc9b81d.jpg

Et après ? demande Ida au séduisant jeune homme qui vient de lui faire découvrir le jazz et qui n’aime pas les serments. Et après ? un mariage, un chien, des enfants Ida sait alors qu’elle est prête pour une autre vie.

Magali Van Reeth

SIGNIS

François d’Assise, un saint pour le XXIème siècle ?

François d’Assise, un saint pour le XXIème siècle ?

Conférence à  Agora Tête d’Or

Mardi 25 Février 2014 à  19h30

Conférence suivi d’un débat par Bernard FORTHOMME , franciscain, professeur de théologie aux Facultés Jésuites de Paris (Centre Sèvres). Auteur de « Théologie de l’Aventure », CERF, Paris, 2013.

En quoi le nom de François nous provoque-t-il aujourd’hui, alors que l’évêque de Rome vient de choisir ce nom ?

Nous évoquerons la question de l’évangélisation à  partir des pauvres, avec les enjeux d’une parole libre et courageuse, de la fraternité élargie et audacieuse, et d’un renouvellement de nos relations compromises avec la création, pour une vérité ouverte face au relativisme délitant le lien social. Une nouvelle réflexion théologique plus attentive à  la sagesse inspirée par l’Esprit.

Participation aux frais : 7 € / adhérents : 4 € / étudiants : gratuit.
à  l’agora tête d’or,
93 rue Tête d’Or, 69006 Lyon

Pour en savoir plus
[->www.agoratetedor.com]
ou 04 78 52 22 54

Le Vent se lève

de Hayao Miyazaki

Japon, 2013, 1h30

Mostra de Venise 2013, compétition officielle.

Sortie en France le 22 janvier 2014.

film d’animation pour adolescents et adultes

Enraciné dans la réalité avec le personnage de Jiro Horikoschi et la période tourmentée de l’histoire qu’il traverse, ce film réussit la gageure d’être fidèle à  la tradition de lyrisme délicat du grand maître du dessin animé japonais.

La nuit, le petit Jiro rêve d’avions et le jour, il dévore les livres qui racontent l’épopée des premiers grands concepteurs, Giovanni Caproni en tête. Sa myopie l’empêchant de piloter, l’avenir s’ouvre à  lui comme ingénieur. Travailleur infatigable, il accède rapidement à  un poste important dans l’industrie aéronautique japonaise naissante (où des couples de bœufs tirent les avions jusqu’au terrain !). Ses chefs l’envoient donc en Allemagne pour progresser plus vite.273764_9359df7fadcd2561c600c4f2108c7648.jpg

Le jour du tremblement de terre de Tokyo en 1923, il vient au secours d’une jeune fille et de sa mère. Quelques années plus tard, il retrouve par hasard Nahoko à  la montagne où elle soigne sa tuberculose. Dès lors sa vie professionnelle se double d’une vie sentimentale.273764_7d46c9056cbb5b4c9de86b9684fdcd07.jpg

« Le vent se lève, il faut tenter de vivre », le final du Cimetière Marin de Paul Valéry qui donne son titre au film fournit la double clef de cette belle histoire : cité en français (!!) par Caproni, il est la métaphore poétique de l’aventure aérienne. Repris par la jeune Nahoko, il devient l’injonction courageuse qui signe la générosité de la jeune femme ainsi que la profondeur de son amour pour Jiro. Les derniers mots qu’elle lui adresse avant de mourir y font directement écho : « vis ta vie ».

Car l’engagement de Jiro dans son métier-passion est total et sa réussite ne s’encombre pas de scrupules : inventeur du chasseur bombardier Zéro que les kamikazes ont rendu tristement célèbre, il ne s’interroge jamais sur l’utilisation mortifère de son génie.273764_37403697c01f8470d7c8dfc03aa09731.jpg

Enraciné dans la réalité avec ce personnage de Jiro Horikoschi et la période tourmentée de l’histoire qu’il traverse (tremblement de terre, grande dépression, guerre aux côtés de l’Allemagne nazie), ce film réussit la gageure d’être fidèle à  la tradition de lyrisme délicat du grand maître du dessin animé japonais. Les paysages, paisible campagne ou majestueuse montagne (explicitement référée à  La montagne magique de Thomas Mann), génèrent une douceur qui équilibre les scènes impressionnantes de séisme et de destruction d’avions. La musique due à  Joe Hisaïchi ajoute au charme de ce film-testament, Miyazaki ayant annoncé son intention d’arrêter là  sa carrière. Enfin « Le vent souffle où il veut » : puisse-t-il inspirer au maître encore quelque chef d’œuvre !

Michèle Debidour

SIGNIS

Viva la liberta

de Roberto Ando

Italie, 2013, 1h34

Sortie en France le 5 février 2014.

avec Toni Servilio et Valeria Bruni Tedeschi.

Le thème du kagemusha n’est pas nouveau au cinéma mais le réalisateur le met ici à  la sauce italienne, savoureuse parce que s’appuyant sur un Toni Servilio au talent époustouflant.

Enrico Oliveri (Toni Servilio) leader de l’opposition, est déprimé : les sondages sont mauvais et les élections proches se présentent mal pour lui. Il disparaît alors sans laisser d’adresse, plongeant son entourage dans l’embarras. C’est son épouse qui trouve la solution : faire appel à  son frère jumeau, philosophe de son état affligé d’une maladie bipolaire.

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Giovanni (aussi Toni Servilio) relève brillamment le défi et, en quelques jours, devient très populaire : orateur habile, il s’appuie sur sa culture philosophique pour développer une fantaisie utopiste qui ne manque pas de séduire son public. Surtout il est aussi enjoué que son jumeau était sérieux et réenchante la relation à  son électorat.

Adaptant son propre roman « Le trône vide », Robert Ando nous propose une comédie politique réjouissante. Le thème du kagemusha n’est pas nouveau au cinéma mais le réalisateur le met ici à  la sauce italienne, savoureuse parce que s’appuyant sur un Toni Servilio au talent époustouflant. Sacré meilleur acteur européen pour La Grande Bellezza de Paolo Sorrentino, l’acteur incarne ici chacun des deux frères avec brio.

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Cette pochade n’a pas l’ambition d’une fable politique et son charme tient à  la légèreté du propos. Pas de satire de la part de cet original qui ne ridiculise pas la fonction politique mais démontre tout au plus qu’elle a besoin d’humour et d’idéal. L’intrigue s’essouffle un peu avec la parenthèse parisienne où Enrico retrouve un amour de jeunesse (Valeria Bruni Tedeschi). Mais le spectateur gardera en mémoire quelques scènes rafraîchissantes comme la rencontre du député avec la chancelière qui se transforme en élégante scène de danse.

Michèle Debidour

Signis